Dieu est unique entrez en paix

Dieu Allah Seigneur Maitre du jour de la rétributuon Converti à l'islam, des signes,La vérité est dans le coran demande à Dieu de te guidée.

dimanche, décembre 31, 2006

Dr. Jerald F. Dirks converti à l'islam.





Dr. Dirks est un ancien ministre (diacre) de l'église méthodiste unie. Il tient une maîtrise de divinité de l'université de Harvard et un doctorat en psychologie de l'université de Denver. Auteur « de la croix et du croissant : Un dialogue interconfessionnel entre le christianisme et l'Islam » (2001), et « Abraham : L'ami de Dieu » (2002). Il a édité plus de 60 articles dans le domaine de la psychologie clinique, et plus de 150 articles sur les chevaux Arabes.

Une de mes premières mémoires d'enfance est d'entendre la cloche de l'église le dimanche culte du matin dans la petite ville dans laquelle j'ai été élevé...
Par l'âge 17, quand j'ai commencé mon année d'étudiant de première année à l'université de Harvard...Pendant mon année d'étudiant de première année, je me suis inscrit dans un cours de deux-semestre de la religion comparative, qui a été enseignée par Wilfred Cantwell Smith, dont le domaine de spécialisation spécifique était l'Islam... l'Islam a semblé être quelque peu semblable à mon propre christianisme...j'ai travaillé en tant que ministre de la jeunesse dans une église méthodiste unie assez grande. L'été suivant, j'ai obtenu mon permis de prêcher de l'église méthodiste unie. En recevant un diplôme de l'université de Harvard en 1971, je me suis inscrit à l'école de divinité de Harvard, et là a obtenu mon maître du degré de divinité en 1974, ayant été précédemment ordonné dans le Deaconate de l'église méthodiste unie en 1972, et ayant précédemment reçu une bourse de Stewart de l'église...
Vu de l'extérieur, j'étais un jeune ministre très prometteur...Cependant, vu de l'intérieur, je combattais une guerre constante pour maintenir mon intégrité personnelle face à mes responsabilités ministérielles...
j'ai continué pour gagner un maître et un doctorat en psychologie clinique. J'ai continué à m'appeler un chrétien, parce que c'était un peu nécessaire , et parce que j'étais, après tout, un ministre ordonné, quoique mon travail à temps plein ait été en tant que professionnel de santé mental. Cependant, mon éducation de séminaire avait pris soin de n'importe quelle croyance que je pourrais avoir eue concernant une divinité de triplé ou la divinité de Jésus, paix soit sur lui... j'ai conduit ma vie personnelle en conformité avec l'éthique qu'on m'avait par le passé enseigné à l'église et à l'école du dimanche.
...je suis devenu de plus en plus intéressé au sujet de la perte de religion dans la société américaine...La culture américaine a de plus en plus semblé avoir perdu sa boussole morale et religieuse. Deux sur trois mariages fini dans le divorce ; la violence devenait une pièce de plus en plus inhérente de nos écoles et de nos routes ; ...de divers chefs et établissements chrétiens étaient inondés par des scandales sexuels et financiers...
C'était dans les circonstances actuelles que j'ai commencé à entrer en contact avec la communauté musulmane locale.
...Notre premier un tel contact était avec Jamal en été de 1991...Pendant ces visites, Jamal ne m'a jamais prêché au sujet de l'Islam, et jamais interrogé au sujet de ma propre croyance ou convictions religieuse, et jamais verbalement proposé que je devienne un musulman. Cependant, je commençais à apprendre beaucoup. D'abord, il y avait l'exemple comportemental constant de Jamal observant ses prières programmées. En second lieu, il y avait l'exemple comportemental de la façon dont Jamal a conduit sa vie quotidienne d'une façon fortement morale , dans son monde des affaires et dans son monde social. Troisièmement, il y avait l'exemple comportemental de la façon dont Jamal a agi l'un sur l'autre avec ses deux enfants. Pour mon épouse, l'épouse de Jamal a fourni un exemple semblable...
Graduellement,...j'ai observé les individus et les familles qui vivaient leurs vies sur un avion moral beaucoup plus élevé que la société américaine dans laquelle nous tous avons été . Peut-être il y avait quelque chose à la pratique de l'Islam que j'avais manquée pendant mes jours collégiaux et de séminaire...
Pour le mois de décembre 1992, je commençais à me poser quelques questions sérieuses sur où j'étais et ce que je faisais...j'ai commencé à lire deux traductions en anglais différentes de la signification du Coran...
décembre de 1992, j'ai été forcé d'admettre que je ne pourrais trouver aucun point de désaccord substantiel entre ma propre croyance religieuse et les principes généraux de l'Islam. Tandis que j'étais prêt à reconnaître Muhammad, la paix soit sur lui, était un prophète (un qui a parlé sous l'inspiration de) de Dieu, et tandis que je n'avais absolument aucune difficulté affirmant qu'il n'y avait aucun dieu sans compter que Dieu/Allah... je pourrais garder mon identité religieuse familière d'être un chrétien, bien qu'un chrétien qui a cru comme un musulman ait cru...
C'était maintenant mars de 1993, et mon épouse et moi appréciaient des vacances de cinq semaines dans le Moyen-Orient... J'étais un chrétien, ou ainsi je le disait...Après tout, j'avais été né dans une famille chrétienne, avais été donné une éducation chrétienne, étais allé à l'église et à l'école de dimanche en dimanche , avais reçu un diplôme d'un séminaire prestigieux, et étais un ministre ordonné dans une grande dénomination protestante...
Cependant, j'étais également un chrétien : qui n'a pas cru en divinité des triplés ou en la divinité de Jésus, la paix soit sur lui ...; qui avait indiqué le témoignage islamique de la foi dans mes propres mots soigneusement analysés ; qui avait jeûné pendant le Ramadan ; qui indiquait des prières islamiques cinq fois par jour ; et qui a été profondément impressionné par les exemples comportementaux j'avait été témoin dans la communauté musulmane, en Amérique et dans le Moyen-Orient...Pendant que nous marchions ( dans les rue de Jordanie) , un vieil homme nous a approchés de la direction opposée, dite, « `Alaykum de Salam »( la « paix soit sur toi ») et offert de se serrer la main. Me regardant, l'étranger me demande, « musulmans ? »
...Je pourrais dire « N' AM »(« oui ») ; ou je pourrais dire la « La »(« non »). Le choix était le mien. J'ai dû choisir, et j'ai dû choisir maintenant ; il était juste que simple. Féliciter soit à Allah, j'a répondu, « N' AM » ("OUI")...
J'étais un musulman. Féliciter soit à Allah, mon épouse de 33 ans est également devenu une musulmane .

Gary Miller (ex- missionnaire chrétien) converti à l'islam.





Gary Miller est un mathématicien et un théologien canadien. Il était en activité dans le travail chrétien de missionnaire à un point particulier de sa vie mais il a bientôt commencé à découvrir beaucoup de contradictions dans la bible. En 1978, il s'est avéré justement lire le Qur'an comptant qu'il, aussi, contiendrait un mélange de la vérité et de la fausseté.Il a découvert à sa stupéfaction que le message du Qur'an était avec précision identique que l'essence de la vérité qu'il avait distillée de la bible.

Il est devenu un musulman et depuis lors a été en activité en donnant des présentations publiques sur l'Islam comprenant des aspects de radio et de télévision. Il est également l'auteur de plusieurs articles et publications au sujet de l'Islam.

Nuh ha Mim Keller converti à l'islam.






Né en 1954 dans une ferme des Etats-Unis du nord-ouest,j'ai été élevé dans une famille religieuse en tant que catholique. L'église a fourni un monde spirituel qui était incontestable dans mon enfance...Une raison était les changements fréquents de la liturgie catholique et du rituel qui se sont produits à la suite du deuxième Conseil de Vatican de 1963, suggérant aux laïques que l'église n'ait eu aucune norme ferme...
Une deuxième raison était un certain nombre de difficultés doctrinales, telles que la doctrine de la trinité, que personne dans l'histoire du monde, ni prêtre ni laïque, n'avaient pu expliquer d'une manière persuasive, et ce qui s'est résolue, à l'esprit commun au moins, dans une sorte de divinité-par-comité, partagée entre Dieu le père, qui a régné le monde du ciel ; Son fils Jésus le Christ, qui a sauvé l'humanité sur terre ; et le fantôme saint, qui a été décrit comme colombe blanche et semblé pour avoir un rôle considérablement mineur. Je me rappelle de vouloir faire les amis spéciaux avec juste un de eux ainsi de lui pourrais manipuler mes affaires avec les autres, et à cet effet, prierait parfois sincèrement à celle-ci et parfois à cela ; mais les autres deux étaient toujours obstinément là. J'ai finalement décidé que Dieu le père doit être responsable des autres deux, et ceci a mis l'obstacle le plus formidable dans la manière de mon catholicisme, la divinité du Christ. D'ailleurs, la réflexion lui a fait la plaine que la nature de l'homme a contredit la nature de Dieu dans chaque détail...
D'ailleurs, quand je suis allé à l'université, j'ai constaté que l'authenticité du livre, particulièrement le nouveau testament,avait hérité le doute considérable
la vie du Christ comme il réellement a vécu il ne pourrait pas être reconstruite du nouveau testament avec tout degré de confiance. Si ceci étaient acceptés d'un ami du christianisme et d'un de ses premiers experts textuels, est-ce que j'ai raisonné, qu'ai été parti pour ses ennemis à la parole ? Et excepté ce qu'est alors resté de la bible pour reconnaître que c'était un disque des vérités mélangé aux fictions, conjectures projetées sur le Christ par les disciples postérieurs, eux-mêmes en désaccord les uns avec les autres ...


J'ai étudié la philosophie à l'université et elle m'a enseigné à demander deux choses de celui qui prétendu avoir la vérité : Que voulez-vous dire, et comment vous savez-vous ? Quand j'ai posé ces questions de ma propre tradition religieuse, je n'ai trouvé aucune réponse, et me suis rendu compte que le christianisme avait glissé de mes mains. Je me suis alors embarqué sur une recherche qui est peut-être non peu familière à beaucoup de jeunes dans l'ouest, une recherche pour signifier dans un monde sans signification...J'ai commencé où j'avais perdu ma croyance précédente, avec les philosophes, pourtant vouloir croire, cherchant pas la philosophie, mais plutôt une philosophie.
J'ai lu les essais du grand pessimiste Arthur Schopenhauer...j'ai décidé de m'imprégner avec les arguments les plus incontestables de l'athéisme que je pourrais trouver, que peut-être je pourrais trouver une sortie de eux ... Ainsi j'ai lu les traductions de Walter Kaufmann des travaux de l'immoralist Friedrich Nietzsche...
À un niveau personnel, ses tirades contre le christianisme, en particulier en généalogie des morales, m'ont donné l'avantage de distiller la croyance de la tradition monotheistic dans un nombre restreint de formes analysables...quand Je suis parti à l'université de Chicago, où j'ai étudié l'épistémologie de la théorie morale...j'ai trouvé du travail d'été sur la côte occidentale : pêche en bateau en Alaska. J'ai rencontré beaucoup de gens sur les bateaux, et le vent, l'eau,la pluie ; la dimension de l'homme. Ces choses se transmettent à nous comme un immense livre...A chicago où j'étudié je me suis rendu compte par des études des systèmes moraux philosophiques que la philosophie n'avait pas réussie dans le passé à influencer de manière significative des morales de peuples et à empêcher l'injustice...
Emile Durkheim sous ses « formes élémentaires de la vie religieuse », ou Sigmund Freud dans son « totem et tabou », qui ont discuté l'humanité comme si c'étaient un patient et ont diagnostiqué ses traditions religieuses comme forme d'une névrose collective que nous pourrions maintenant espérer pour traiter, en s'appliquant à elles un athéisme scientifique complet, une sorte de salut par la science pure.
... Le point d'interrogation horrible qui a été attaché aux intellectuels allemands quand les atrocités nazies sont devenues publiques après la guerre faite Habermas pensent profondément à l'idéologie de la science pure. Si quelque chose était évident, c'était que l'optimisme de dix-neuvième-siècle des penseurs comme Freud et Durkheim n'était plus défendable.
J'ai commencé à réévaluer la vie intellectuelle autour de moi. Comme Schopenhauer, j'ai estimé qu'une éducation plus élevée doit produire de plus hauts êtres humains.
...J'ai lu la « introduction de Kojves à la lecture de Hegel », dans laquelle il a expliqué que pour Hegel,la philosophie n'ai pas abouti au système, mais plutôt à l'homme sage, quelqu'un capable de répondre à n'importe quelle question possible sur les implications morales des actions humaines...
Pour Hegel, le mouvement de la recherche philosophique a toujours mené à partir de l'abstrait au béton, au plus vrai.
Il pouvait donc dire que la philosophie a nécessairement mené à la théologie, dont l'objet était finalement le vrai. Ceci ma semblé se diriger vers le haut d'un manque irréductible en notre siècle. J'ai commencé à me demander si, en matérialisant notre culture et notre passé, nous ne nous étions pas soustraits de façon ou d'autre de notre humanité plus large, de notre nature vraie par rapport à une réalité plus élevée.
... Dans les circonstances actuelles, j'ai lu un certain nombre de travaux sur l'Islam, parmi eux que les livres de Seyyed Hossein Nasr, qui ont cru que plusieurs des problèmes de l'homme occidental...J'ai lu d'autres livres sur l'Islam...
J'ai également lu la traduction d'A.J. Arberrys « le Qur'an interprété », ...
sa puissance, sa finalité inexorable, sa manière surnaturelle de prévoir les arguments du coeur athée à l'avance et de leur répondre ; c'était une exposition claire de Dieu comme Dieu et homme comme homme, la révélation de l'unité divine intimider-inspirante étant la révélation identique de la justice sociale et économique parmi les hommes.

J'ai commencé à apprendre l'arabe à Chicago...pour essayer d'avancer dans la langue je suis parti étudier au Caire...J'ai rencontré beaucoup de musulmans en Egypte, bon et mauvais, mais tout influencé par les enseignements de leur livre jusqu'à un plus grand degré que j'avais jamais vu ailleurs.


...IL y avait un homme du côté du Nil près des jardins de Miqyas, où j'avais l'habitude de marcher. Je venait vers lui, il priait sur un morceau de carton... J'ai commencé à passer , mais soudainement j'ai fait le tour derrière, ne voulant pas le déranger. je les observais un moment , j'ai vu un homme absorbé dans sa relation à Dieu, inconscient à ma présence,... il y avait quelque chose de magnifiquement détachée à ce sujet, tout à fait étrange pour quelqu'un venant de l'ouest, où la prière en public était pratiquement la seule chose qui est demeurée obscène...
Un autre jeune garçon de l'école secondaire qui m'a salué près d'Al-Khalili de Khan, et parce que je parlé un certain arabe et il a répondu de l'anglais et a voulu me parler de l'Islam, il a marché avec moi à travers la ville à Giza, m'expliquant autant qu'il pouvait. Quand nous nous sommmes séparé, je pense qu'il a dit une prière pour que je deviennes musulman.




Un autre était un ami yéménite habitant au Caire qui m'a apporté une copie du Qur'an à ma aider à apprendre l'arabe... Ceci m'a impressionné parce que j'ai su qu'il n'était pas religieux, mais était ici l'effet de l'Islam sur lui.
Une autre était une femme que j'ai rencontrée tout en marchant sur une route non pavée du côté opposé du Nil de Luxor. J'étais poussiéreux, et légèrement minablement vêtu, et elle était une vieille femme habillée en noir de la tête au pied, et sans mot ou regard vers moi, elle a serré une pièce de monnaie dans ma main tellement soudainement que dans ma surprise je l'ai laissée tomber. Avant que je l'aie prise, elle s'était dépêchée loin. Puisqu'elle a pensé que j'étais pauvre, elle me donna une certaine somme d'argent sans n'importe quelle espérance pour elle excepté ce qui était entre elle et son Dieu. Cet acte m'a incité à penser beaucoup à l'Islam...
Le christianisme a eu ses points positifs... mais ils ont semblé mélangés avec baucoup de confusions...La première question que nous avions apprise par coeur de notre catéchisme tôt avait été pourquoi étiez vous avez créé ? à ce que la réponse correcte était de savoir, aimer, et servir Dieu. Quand j'ai réfléchi sur ceux autour de moi, je me suis rendu compte que l'Islam a semblé fournir la manière la plus complète et la plus compréhensible de pratiquer ceci quotidiennement...
Quand un ami du Caire un jour m'a demandé, pourquoi vous ne devenez pas un musulman ? , J'ai constaté qu'Allah avait créé chez moi un désir d'appartenir à cette religion, qui enrichit ainsi ses disciples, les coeurs les plus simples aux intellects les plus magistraux. Elle n'est pas par un acte de l'esprit ou de la volonté que n'importe qui devient un musulman, mais plutôt par la pitié d'Allah, et ce, dans l'analyse finale, était ce qui apporté m'à conversion à l'Islam au Caire en 1977.

Alphonse De LAMARTINE rend hommage à l'islam.





Poète et homme politique français (1790/1869) « Jamais un homme ne se proposa, volontairement ou involontairement, un but plus sublime, puisque ce but était surhumain : Saper les superstitions interposées entre la créature et le Créateur, rendre Dieu à l'homme et l'homme à Dieu, restaurer l'idée rationnelle et sainte de la divinité dans ce chaos de dieux matériels et défigurés de l'idolâtrie... Jamais homme n'accomplit en moins de temps une si immense et durable révolution dans le monde… ».« Si la grandeur du dessein, la petitesse des moyens, l'immensité du résultat sont les trois mesures du génie de l'homme, qui osera comparer humainement un grand homme de l'histoire moderne à Mahomet ? Les plus fameux n'ont remués que des armes, des lois, des empires; ils n'ont fondé, quand ils ont fondés quelque chose, que des puissances matérielles, écroulées souvent avant eux. Celui-là a remué des armées, des législations, des empires, des peuples, des dynasties, des millions d'hommes sur un tiers du globe habité ; mais il a remué, de plus, des idées, des croyances, des âmes. Il a fondé sur un Livre, dont chaque lettre est devenue une loi, une nationalité spirituelle qui englobe des peuples de toutes les langues et de toutes les races, et il a imprimé, pour caractère indélébile de cette nationalité musulmane, la haine des faux dieux et la passion du Dieu un et immatériel...

Philosophe, orateur, apôtre, législateur, guerrier, conquérant d'idées, restaurateur de dogmes rationnels, d'un culte sans images, fondateur de vingt empires terrestres et d'un empire spirituel, voilà Mahomet. À toutes les échelles où l'on mesure la grandeur humaine, quel homme fut plus grand ? »
« Il a fondé une nationalité spirituelle (...), la haine des faux dieux, et la passion du Dieu un et immatériel.

Ce patriotisme vengeur des profanations du ciel fut la vertu des enfants de Mahomet (les musulmans); la conquête du tiers de la terre à son dogme fut son miracle, ou plutôt ce ne fut pas le miracle d’un homme, ce fut celui de la raison. L’idée de l’unité de Dieu, proclamée dans la lassitude des théogonies fabuleuses, avait en elle-même une telle vertu, qu’en faisant explosion sur ses lèvres elle incendia tous les vieux temples des idoles et alluma de ses lueurs un tiers du monde. »

(« Histoire de la Turquie » 1er Tome).

Monica Nur Sammour-Wüst converti à l'islam.




Je ne sais pas où elle va chercher ce spleen religieux.» C’est ce que son père disait d’elle, raconte Monica Nur Sammour-Wüst. Les parents de cette Zurichoise de 35 ans étaient réformés, mais sans être très religieux.
«J’allais volontiers à l’école du dimanche, déclare-t-elle à swissinfo. Mais c’est plus tard, quand j’ai découvert l’Islam, que j’ai eu une véritable révélation. Le prophète Mohamed a dit: ‘Chaque enfant vient au monde comme musulman et comme un don de dieu.’ Ce sont les parents qui nous éduquent différemment.»Pas besoin d’intermédiaireA l’école du dimanche, l’enseignante disait que dieu voit tout et entend tout. Mais qu’il avait envoyé Jésus sur la terre comme médiateur. «Quand j’avais 5 ans, j’ai dit à ma mère: si dieu voit tout et entend tout, je n’ai pas besoin de médiateur.»
Après sa conversion, elle a souvent pensé à cette anecdote en se disant qu’elle avait toujours été musulmane. «Quand je fais appel à dieu, je lui demande directement son aide, c’est le fondement de l’Islam.»Pas de réponses sur la mortEn 1991, Monica Wüst a rencontré son premier mari et s’est mariée. «A cette époque, je me posais plein de questions, surtout à propos de la mort. Le christianisme ne m’a donné aucune réponse car c’est un sujet tabou.»
Son mari était libanais. «Le fait d’avoir connu la guerre faisait que, bien qu’âgé comme moi de 22 ans, il était très différent.

Il ne comprenait pas pourquoi ici, dans le monde occidental, on a peur de la mort. Pour lui, c’était clair: la mort est expliquée par l’Islam.»Conversion officielle«J’ai commencé à m’informer et c’est alors que j’ai eu ma révélation. Je croyais déjà en dieu, aux prophètes, aux anges, à la prédestination, à la résurrection. En fait, j’étais déjà musulmane depuis longtemps, simplement, je ne le savais pas. En 1992, je me suis convertie officiellement.»
Le premier mari de Monica Wüst s’est tué dans un accident de voiture. Plus tard, elle s’est remariée. Elle a vécu six ans avec son second mari, également libanais, avant de divorcer.
Aujourd’hui seule, Monica Nur Sammour-Wüst a deux filles et un fils, qu’elle élève dans sa religion. «Je suis responsable d’elles jusqu’à leur majorité. A la maison, nous vivons dans l’Islam, c’est mon devoir de mère. Les enfants l’acceptent, je crois que c’est normal pour elles.»
Et si un de ses enfants changeait reniait sa foi? «C’est ma principale prière à dieu, que cela n’arrive jamais. Ce serait difficile pour moi car l’Islam est une règle de vie qu’on ne peut changer comme de chemise.»
Mais il ne doit pas y avoir de contrainte dans la foi. «Si un de mes enfants, dans le pire des cas, ne veut plus entendre parler de l’Islam, et bien il sera responsable de ses actes quand il sera adulte.»Baisse du seuil d’inhibitionL’assassinat du cinéaste hollandais Theo van Gogh par un islamiste a déclenché une discussion sur les dangers du radicalisme musulman et les peurs n’épargnent pas la Suisse.
«Le seuil d’inhibition contre le racisme est descendu. On se permet de dire tout haut des choses qu’on pensait tout bas auparavant. Je connais des musulmans qui osent à peine sortir.»
Mais il y a aussi des Suisses qui sont vraiment tolérants ou qui cherchent au moins à s’informer sur l’Islam, poursuit la jeune femme. «Le plus difficile, actuellement, c’est que les médias en donnent une image négative.»
Trop peu de distance avec l’extrémisme?

Souvent, on reproche aux musulmans de ne pas prendre suffisamment de distance avec les violences ou des imams qui prêchent la haine et ce qui peut passer pour des atteintes aux droits de l’homme dans nos démocraties occidentales. Ce reproche met notre interlocutrice en colère.
«Imaginez qu’on exige de vous de vous distancier des violences dans le monde simplement parce que les auteurs seraient catholiques ou réformés. Quels chrétiens se distancient des prêtres pédophiles? Pourquoi les évêques ne prennent-ils pas position? Pourquoi les chrétiens ne descendent-ils pas dans la rue?»
«Pourquoi les juifs ne se distancient-ils pas de Sharon? Pourquoi devrais-je, moi, me distancier des musulmans radicaux? Je me sens en rien responsable des actes d’autres gens et je respecte les lois suisses.».On sait que beaucoup de musulmanes restent chez elles et ne sont pas autorisées à sortir seules. Ce n’est pas le cas de Monica Nur Sammour-Wüst.

Est-ce parce qu’elle est suisse?
«Non, il y a environ 1400 ans, au temps du prophète Mohamed, les femmes n’étaient pas confinées mais avaient même des activités politiques. Enfermer les femmes à la maison, ce n’est pas un modèle religieux, c’est du patriarcat.»Monica raconte encore que les musulmanes disent avoir plus de problèmes que les Suissesses converties. «Y a-t-il un certain racisme en plus? En tout cas, nous devons dires à ces sœurs qu’elles doivent absolument apprendre notre langue.»
«Du reste, le prophète Mohamed l’a dit: ‘Où que tu vives, apprend la langue des gens pour communiquer avec eux.’ Je conseille à mes coreligionnaires de suivre des cours de langue afin de pouvoir s’expliquer avec les gens de manière constructive.»

swissinfo, Jean-Michel Berthoud

(Traduction de l’allemand: Isabelle Eichenberger)

vendredi, décembre 29, 2006

JOSSOT Henri converti à l'islam(alias Abdul Karim JOSSOT).




Gustave Henri Jossot (1866-1951) , mort en 1951. Artiste peintre et écrivain, il était lui aussi un précurseur assez audacieux. L'islam de Jossot est présenté par Augustin Berque comme «une réaction de l'âme contre la civilisation mécaniste». Il disait aussi que cet islam soufi était le fait d'Européens désireux d'une régénérescence métaphysique. Ces êtres-là ne trouvaient plus dans un certain sentimentalisme catholique, je le dis en présence de frères chrétiens, une nourriture vraiment spirituelle. Il faut aussi ajouter que le christianisme, qui se présente comme un message d'amour et de charité, s'accommodait bien du colonialisme.

Le 16 avril 1866, naissance de Gustave Henri JOSSOT, à Dijon. Caricaturiste de talent. Né d'une famille bourgeoise, il s'éloigne de son milieu pour se consacrer à la peinture et au dessin. Toute sa révolte passe par le trait de ses caricatures qui prennent pour cibles les institutions de la société : famille, armée, justice, églises, écoles, etc. Jossot, profondément libertaire, refuse pourtant l'étiquette d'anarchiste. Ses premiers dessins sont publiés vers 1891 dans Le rire, puis dans L'assiette au beurre, Le diable (anticlérical), Les temps nouveaux, etc. «La besogne du caricaturiste ne consiste pas à faire tressauter sous le rire les bedaines des brutes, mais à semer dans les cerveaux qui pensent les idées libératrices» (in Le foetus récalcitrant).À partir de 1907, il abandonne ce mode d'expression et, après une longue dépression, il se retire en Tunisie, en 1911, se convertissant même à l'islam en 1913, après une crise mystique qui ne dura pas. Toujours aussi individualiste et révolté, il défend, dans les journaux, les mariages inter-communautés, une plus grande liberté pour les musulmanes, etc. Il ne peint plus que des paysages et tableaux sur la vie quotidienne tunisienne. Il meurt le 7 avril 1951, à Sidi Bou Saïd. Ayant renoncé à toute religion, il fut enterré civilement.

Bruno Guiderdoni converti à l'islam (alias Abd al Haqq Guiderdoni ).





Directeur de Recherche CNRS
Abd-al-Haqq Guiderdoni est chercheur au CNRS et dirige depuis 1995 l'Institut des hautes études islamiques.

extrait de "Science et religion aujourd’hui : perspectives islamiques"

Abd-al-Haqq Guiderdoni


Qu’il me soit permis, pour commencer, de raconter une histoire que mes collègues astronomes relatent parfois dans des congrès scientifiques. C’est l’histoire d’un professeur d’astronomie qui fait une conférence pour le public sur les dernières découvertes de la cosmologie contemporaine. Il y expose la théorie du Big Bang, l’expansion de l’univers, la formation des galaxies, etc. A la fin de la conférence, une dame très âgée vient voir le conférencier et lui dit : « Cher Professeur, tout ce que vous avez raconté me semble très compliqué.

En effet, on sait bien que le monde repose sur le dos d’une grande tortue. » Le professeur retient un sourire, et pose à la dame une question : « Très bien, chère Madame, mais sur quoi cette tortue repose-t-elle, à son tour ? » La dame répond : « Mais c’est évident, sur une autre tortue. » Et voyant que le professeur allait répéter sa question, la dame prend les devants : « Et d’ailleurs, vous savez, il y a des tortues jusqu’en bas. »
Quand mes collègues astronomes racontent cette histoire — dont je ne peux vous dire si elle s’est produite réellement ou si elle a été inventée — je crois ressentir chez eux un mélange d’ironie et de dépit : ironie par rapport à l’ignorance de la vieille dame ; dépit par rapport à leur propre ignorance de « ce sur quoi repose le monde ». La vieille dame a tort du point de vue scientifique, mais elle a raison du point de vue métaphysique, en ce sens qu’elle sait que toute chose repose sur une fondation, un soubassement, un socle. Et le professeur d’astronomie, qui a peut-être raison du point de vue scientifique, a tort du point de vue métaphysique, s’il refuse l’existence de ce socle qui brise la régression ad infinitum des tortues, ou de toute autre entité cosmique.
On pourrait dire que la science s’intéresse avec succès aux « tortues », plus exactement à la chaîne des causes et des effets qui régissent le monde. Mais elle reste muette sur le socle, qui échappe à son regard, ce socle qui nous permet de répondre à la question de Leibniz : « Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? » A cette question, les croyants répondent que ce socle ne peut être que Dieu, aç-Çamad, l’Indépendant des mondes, Celui dont tout dépend, al-Haqq, le Réel sur lequel tout s’appuie, al-Muhît, Celui qui nous entoure de toutes parts. Subhâna-Llâh, ‘ammâ yaçifûn. C’est Sa rahmah qui maintient le monde dans l’être (wujûd), au-dessus du néant (‘adam). Si Dieu retirait Sa rahmah, le monde cesserait aussitôt d’exister.
J’ai l’impression que cette petite histoire nous permet de sentir pourquoi la question des relations entre science et religion est intéressante. Cette question est aussi ancienne que la philosophie elle-même, qui s’est, dès ses débuts, attachée à définir les positions respectives de la raison et de la foi, du vrai et du juste, de la liberté et du destin.


On suit la trace de ces débats dans les élaborations doctrinales du judaïsme, du christianisme, et de l’islam, pendant la période qui, en Occident, recouvre l’ensemble du Moyen Age. Cette question était tout aussi présente au moment de la naissance de la science moderne, au XVIème et XVIIème siècles. Enfin, la prise d’indépendance de la raison par rapport à la révélation, et des sociétés par rapport aux églises, reste le fil rouge qui traverse toute l’époque moderne, jusqu’aux fameux « maîtres du soupçon » (Marx, Nietzsche et Freud) qui ont ouvert la voie au doute contemporain. L’opinion dominante fut alors de considérer que science et religion, ayant mené jusqu’à son terme un divorce douloureux, dont l’affaire Galilée reste, en Europe, l’événement emblématique, n’avaient plus rien à se dire...

Les différentes attitudes face au rapport entre science et religion procèdent des éclairages différents qui peuvent être donnés à ces trois aspects. Mais la perspective fondamentale de l’islam demeure celle de l’affirmation de l’unicité divine (tawhîd), qui assure l’unicité de la connaissance, dans la mesure où tout savoir véritable reconduit à Dieu.

C’est le même mot (âyât) qui désigne à la fois les signes de Dieu dans le cosmos et les versets du texte coranique. De nombreux passages, appelés « versets cosmiques » (âyât kawniyya) par les commentateurs, attirent l’attention du lecteur sur les phénomènes de la nature, où celui-ci doit apprendre à déchiffrer l’œuvre du Créateur. En conséquence, il ne saurait y avoir de désaccord entre les données produites par la connaissance du monde et celles qui sont apportées par la révélation, ni de « double vérité » (duplex veritas), comme l’appelaient les Chrétiens écrivant en latin, double vérité condamnée dans l’Occident médiéval et faussement attribuée aux philosophes musulmans...

Docteur Philippe Grenier converti à l'islam.





Premier député musulman de France

Dans une espèce de « Conférence de Presse » qu'il donnait le 30 décembre 1896, des journalistes de plusieurs quotidiens, notamment : Le Gaulois, Le Journal, Le National, Le Soir, La Patrie, l'assaillent de questions ?

« Pourquoi vous êtes-vous fait musulman ? Quels sont les avantages de l'Islamisme ?

- Vous désirez savoir pourquoi je me suis fait musulman ? Par goût, par penchant, par croyance, et nullement par fantaisie, comme quelques-uns l'ont insinué. Dès mon jeune âge l'Islamisme et sa doctrine ont exercé sur moi une attraction presque irréversible. A la suite de différents voyages que j'ai faits en Algérie, ce qui n'était que penchant est devenu ferveur, mais ferveur raisonnée, car ce n'est qu'après une lecture attentive du Coran, suivie d'études approfondies et de longues méditations que j'ai embrassé la religion musulmane. J'ai adopté cette foi, ce dogme, parce qu'ils m'ont semblé tout aussi rationnels et en tout cas plus conformes à la science que ne le sont la foi et le dogme catholiques. J'ajoute que les prescriptions de la loi musulmane sont excellentes puisqu'au point de vue social, la société arabe est basée toute entière sur l'organisation de la famille et que les principes d'équité, de justice, de charité envers les malheureux y sont seuls en honneur, et qu'au point de vue de l'hygiène - ce qui a bien quelque importance pour un médecin - elle proscrit l'usage des boissons alcooliques et ordonne les ablutions fréquentes du corps et des vêtements. »

Robert Bichet d'écrire : A Pontarlier, en soignant ses malades, comme il le fera plus tard à la Chambre des députés, Philippe Grenier suivra à la lettre les prescriptions du Coran et aux heures prescrites, où qu'il se trouve, il fera ses ablutions et ses prières suscitant, bien sûr, la curiosité et l'étonnement. Sans doute le fait-il avec une ostentation marquée par l'ardeur, la ferveur, le zèle d'un néophyte, et d'où, je le crains, n'est pas complètement exclu un certain désir de se singulariser.
A ceux qui s'étonnaient de ces manifestations publiques il disait : « Rappelez-vous les préceptes de notre prophète : "Dieu a dit : dans quelque lieu que tu m'invoques, je serai là pour t'exaucer, et je te bénirai." Or moi, je veux répandre la loi du Prophète, la faire connaître et aimer, lorsque Mohamed a voulu prêcher l'islamisme parmi son peuple, il n'a pas fait ses prières dans sa chambre, enfermé entre quatre murs ; il a prié ouvertement, en public[29]. »


Avant le 20 décembre 1896, aucun musulman de la France métropolitaine n'avait été élu député de la République. Les députés français étaient chrétiens, juifs, athées, mais aucun d'entre eux n'était musulman. A l'époque, les convictions religieuses d'un député n'étaient pas un critère secondaire. Philippe Grenier le savait, il n'a pas reculé pour autant.

Au mois de décembre de l'année 1896, il y a donc 109 ans, le Dr Philippe Grenier fut élu dans le Jura comme député à l'Assemblée nationale française. Il avait 31 ans et il était musulman. Par son exemple, le Dr. Grenier fait partie de ces personnalités musulmanes de France dont l'on parle peu malgré leur célébrité. En dehors du Collectif Hamidullah, lancé seulement depuis deux ans, cet aspect du patrimoine musulman de France est mal connu. Le 17 décembre 2005, à Paris, ce collectif rend hommage à trois d'entre eux (Malek Bennabi, Eva de Vitray Meyerovitch et Muhammad Hamidullah). Dans son ouvrage au titre explicite « l'islam est les musulmans en France », Sadek Sellam en décrit quatorze parmi les plus célèbres dont le Dr Grenier.

Dans sa ville de Pontarlier, Philippe Grenier était connu comme un musulman intègre, un homme honnête, socialement et professionnellement engagé au côté des plus démunis. Médecin, installé dans la ville depuis 1890, converti à l'islam depuis 1894, il parle aisément de Dieu, soigne gratuitement les pauvres et dénonce ouvertement les injustices sociales. Le père du Dr Grenier était capitaine de cavalerie, membre de l'Etat major de Napoléon III. Et il avait servi dans les chasseurs d'Afrique à Mostaganem (Algérie). Mais il meurt en 1872 alors que son fils Philippe n'a que sept ans. Après son baccalauréat à Besançon, Philippe Grenier fréquente la faculté de médecine de 1883 à 1890 avant de s'installer à Pontarlier où il ouvre un cabinet. Cette année-là, il rend visite à son frère cadet à Blida en Algérie. C'est alors son premier contact direct avec les musulmans de l'empire colonial français. Le jeune médecin humaniste est choqué par la manière dont la France maintient les Algériens musulmans dans la misère en leur refusant le droit à la citoyenneté. A l'époque, les Juifs d'Algérie avaient le droit à la citoyenneté. Pas les musulmans. Durant ce premier séjour algérien, le Dr Grenier est fasciné par le style de vie des musulmans mais il est aussi scandalisé par le dénuement dans lequel ils se trouvent. De retour en Métropole, il se met à étudier le Coran. Quatre ans plus tard, en 1894, lorsqu'il effectue un second voyage en Algérie, il se rend à Blida où il se convertit à l'islam. Il fait sa profession de foi et se rend à La Mecque pour accomplir son pèlerinage à l'âge de 29 ans. Il adopte la tenue traditionnelle des musulmans algériens. Il se fait élire conseiller municipal de sa ville et s'intéresse aux questions d'hygiène publique et d'aide aux nécessiteux. Son engagement auprès des démunis est son engagement politique en font un homme connu dans la région et apprécié sans considération de sa foi musulmane qu'il ne dissimule point.


A la mort du député de Pontarlier, le Dr Grenier se présente à sa succession. Il n'a ni les moyens ni le temps de mener une campagne électorale convenable. Il est alors la risée de la grande presse de l'époque dont les propos sont déjà assez islamophobes. Mais le Dr Grenier est serein et explique que Dieu seul peut donner le pouvoir et qu'Il le donne à qui Il veut. La campagne électorale est menée sans affichages. Le candidat s'adresse directement aux électeurs lors de quelques meetings. Son discours est convaincant. Il s'appuie sur un programme social qui, placé dans le contexte de l'époque, apparaît ambitieux tant au niveau local qu'au niveau national. Par endroits, son programme se démarque du discours politique habituel en insistant sur « la fraternité». Il ouvre ses discours par formule coranique « Toute la louange est à Dieu ». Une phrase qui est machinale en milieu musulman mais dont la presse française se saisit pour lui coller le surnom ironique de « Prophète de Dieu ». Contre toute attente, le 20 décembre 1896, le Dr Grenier est élu au second tour face à un brillant avocat. Le résultat déjoue tous les pronostics. Le lendemain, le « premier député musulman » fait la une de tous les journaux. Les grands reporters de la presse nationale se précipitent dans la petite ville de Pontarlier. Mais certains journaux ont du mal à avaler la pilule. Ils s'en prennent aux électeurs de Pontarlier qu'ils accusent d'avoir pris la responsabilité de « voter pour un fou ». Néanmoins, chaque fois qu'un reporter a l'occasion d'approcher et de parler directement au nouvel élu, ce journaliste change d'avis. Ainsi, trois semaines après son élection, le 12 janvier 1897, le Dr Grenier est encore à la une des journaux qui annoncent la rentrée parlementaire. Pour certains d'entre-eux, il est « le député des musulmans ». Pour d'autres , il est « le député des Arabes ». Dans son édition du 14 janvier 1897, Le Figaro compare le Dr Grenier à Victor Hugo et à Louis Pasteur. Une fois au Parlement, Dr Grenier va effectivement se comporter comme "le député des Arabes". Il se rendra régulièrement en Algérie. Il compilera les données, les informations et se battra pour défendre la cause de ceux qu'on appelle alors les « indigène ». Ses collègues l'écoutent attentivement, ils approuvent son argumentation, mais au moment du vote, ils sont peu nombreux à le suivre. Avec ses enquêtes en Algérie, ses combats à Paris, ses prises de positions éthiques mais peu politiques, le Dr Grenier en a oublié ses électeurs de Pontarlier. En mai 1898, son adversaire fut élu et le Dr Grenier s'en retourna à son cabinet. Il s'éteint le 25 mars 1944, à l'âge de 79 ans. Mais depuis la fin de son mandat en 1898, aucun Français métropolitain musulman, n'a été élu au parlement de son pays.
Pour en savoir plus sur ces musulmans célèbres de France, une excellente référence est « L'islam est les musulmans en France » par Sadek Sallem, aux éditions Tougui (1987).

Le présent texte s'est inspiré du chapitre de ce livre consacré au Dr Philippe Grenier. Bibliographie : · Sadek Salem, l'islam et les musulmans en France, éd. Tougui, 1987 · R. Fernier : Docteur Philippe Grenier, ancien député de Pontarlier, éd. Faivre-Verney, Pontarlier- 1955 · R. Bichet: “Un comtois Musulman, le docteur Philippe Grenier : prophète de Dieu, député de Pontarlier. Edité par l'ancien député UDR de Paris. Besançon – 1976.

le professeur Michel Renard converti à l'islam ( alias Michel Hilal Renard)




Michel Renard est directeur de la revue « Islam de France »



extrait de l'article "Musulmans en ' terre infidèle ' " ?

Par
Michel Hilal Renard

...La première idée est assenée par l’islamophobie depuis plus de quinze ans. Le journaliste Daniel Schneidermann, producteur de Arrêt sur images sur la 5 a parlé de "matraquage sémantique", dans une émission intitulée "Les médias diabolisent-ils l’islam ?", le dimanche 6 avril , après avoir diffusé un récapitulatif impressionnant d’extraits télévisés où l’islam était systématiquement couplé aux références répulsives du terrorisme, du fanatisme et de la délinquance. Cela venait après le magazine Envoyé spécial et le reportage de Jacques Merlino sur les "réseaux islamistes en Europe" qui, en dépit d’une dénégation de façade, avait procédé aux amalgames les plus notoires à l’encontre de la collectivité musulmane en France et en Europe.
...Les musulmans peuvent contribuer à sortir de cette double impasse en établissant la légitimité définitive de leur présence minoritaire en Europe. Il est urgent de procéder à l’inventaire interprétatif (juridico-théologique) des trois grands types de circonstances historiques où les musulmans ont été confrontés à une situation de minorité ou de domination :

1) La période pré-hégirienne (610-622) qui a vu la persécution des premiers disciples du Prophète par les Mecquois polythéistes et qui a donné matière à plusieurs versets coraniques dont il faut interroger le sens. A commencer par les plus connus : - "Ceux qui ont fait du tort à eux-mêmes, les Anges enlèveront leurs âmes en disant : "Où étiez-vous ?" (à propos de votre religion) - "Nous étions impuissants sur terre" dirent-ils. Alors les Anges diront : "La terre de Dieu n’était-elle pas assez vaste pour vous permettre d’émigrer ?" Voilà bien ceux dont le refuge est l’Enfer. Et quelle mauvaise destination ! - A l’exception des impuissants : hommes, femmes et enfants, incapables de se débrouiller, et qui ne trouvent aucune voie :
- A ceux-là, il se peut que Dieu donne le pardon. Dieu est Clément et Pardonneur. - Et quiconque émigre dans le sentier de Dieu trouvera sur terre maints refuges et abondance. Et quiconque sort de sa maison, émigrant vers Dieu et Son messager, et que la mort atteint, sa récompense incombe à Dieu. Et Dieu est Pardonneur et Miséricordieux." (Coran, Sourate IV, An-Nisa, versets 97-100). Quelle est la portée du modèle hégirien d’émigration ?

2) La période de coexistence/affrontement dans l’Espagne médiévale (VIIIe-XVIe siècle) durant laquelle les musulmans ont d’abord dominé politiquement (Al-Andalus) et statué sur le sort des confessions chrétienne et juive, puis ont été progressivement soumis au pouvoir chrétien de la Reconquête qui les a tolérés (mudéjars) avant de les contraindre à la conversion (morisques). Cette succession de coexistences confessionnelles variées, et de tolérences réciproques limitées, a suscité une production juridico-théologique allant de la présence minoritaire justifiée (mufti malékite Abd Allah al-Abdusi du début du XIVe s.) jusqu’à l’obligation d’émigrer (fatwa d’al-Wansarisi de 1495).

3) la période de domination coloniale dont les modalités à l’égard de l’islam ont varié (Indirect Rule britannique, assimilation française) et contre laquelle les musulmans ont réagi diversement sans que jamais l’option d’émigrer, de la terre conquise par l’infidèle, n’ait été formulée comme un impératif vital pour le salut du croyant - démographiquement majoritaire mais politiquement dominé. Inventaire intellectuel à faire.

jeudi, décembre 28, 2006

Torquato Cardilli converti à l'islam



extrait publié le publié le 26/11/2001


L' Ambassadeur de la très catholique Italie à Ryad, Torquato Cardilli, a annoncé la presse saoudienne qu'il se convertissait à l'islam.
La conversion de Cardilli, un diplomate de 59 ans, marié et père de deux enfants

Il l'a Déclaré officiellement le 16 novembre, veille du début du mois sacré du ramadan.




La conversion de Cardilli n'est pas sans précédent: Mario Scialoja, son prédécesseur durant les années 1994-95 a fait pareillement.
Cardilli se trouve actuellement à Rome où il a été, selon le Corriere della Sera, rappelé par son gouvernement "pour consultations"(?...). Le ministère des Affaire étrangères italien observe pour le moment le plus grand mutisme, mais l'ambassade d'Arabie saoudite à Rome préparerait un communiqué.




Cette conversion montre que "les voies du Seigneur sont infinies", a commenté un porte-parole de l'Union des organisations et communautés islamiques, une association dont le siège est en Italie et qui affirme que le nombre d'Italiens convertis ces dernières années à l'islam tourne autour de 3.000 à 5.000.

Mario Scialoja converti à l'islam.






ce diplomate de carrière s'est converti à l'islam alors qu'il était en poste aux Nations-Unies, en 1987,

puis a été ambassadeur en Arabie saoudite et dirige actuellement le bureau romain de la Ligue islamique mondiale.

Daniel Youssef Leclerc converti à l'islam

En 1984, Daniel Youssef Leclerc, converti à l’islam, créera l’association Intégrité. Il s’activera avec Mustapha Dogan, responsable, à l’époque, de l’Union islamique turque de France (UITF), la section française du Millî Görüs (mouvement islamique proche de Najmeddine Arbakane), pour mettre en place une structure de production et de commercialisation des produits halal. Youssef Leclerc, comme le philosophe Roger Garaudy, finira par être désigné membre permanent de la ligue islamique mondiale (LIM).

Abdal Hakim Murad converti à l'islam




Abdal Hakim Murad a reçu un diplôme de l'université de Cambridge avec une double-première en arabe en 1983. Il a alors habité au Caire pendant trois années, étudiant l'Islam avec des professeurs traditionnels à Al-Azhar, une des universités les plus anciennes au monde.






Il a continué a résider pendant trois années dans Jeddah, où il a administré un bureau commercial de traduction et a maintenu étroitement des contacts avec des ulamas.
En 1989, Shaikh Abdal Hakim retourné en Angleterre fait deux ans à l'université de Londres apprenant le Turc et Farsi. Depuis 1992 il a été un étudiant doctoral à l'université d'Oxford, se spécialisant dans la vie religieuse.



Il est actuellement secrétaire de la confiance musulmane d'universitaire (Londres) et directeur du projet de Sunna au centre du milieu - études orientales à l'université de Cambridge, s'occupent des éditions arabes savantes des collections principales de Hadith.




Shaikh Abdal Hakim est le traducteur d'un certain nombre de travaux, y compris deux volumes d'Al-Vacarme d'Ihya Ulum d'Al-Ghazali's d'Imam. Il a enseigné les travaux d'Al-Ghazali d'Imam au programme 1995 intensif de Deen d'hiver à New Haven, CT.

Il apparaît fréquemment sur la radio de BBC et écrit de temps en temps pour un certain nombre de publications, y compris indépendant ; Q-Nouvelles internationales, magazine du ministre musulman de la Grande-Bretagne ; et saisons, le journal semiacademic de l'institut de Zaytuna.

Khalid Blankinship converti à l'islam



Éducation, étudiant préparant une licence et diplômé

Université de Washington Seattle, histoire 1973 de BA de WA

U. américain au Caire l'anglais de enseignement du Caire, Egypte mA 1975 en tant qu'étranger

Université histoire islamique du Caire,
Egypte mA 1983 du Caire Université de Washington Seattle,

Recherche courante, Histoire religieuse et politique musulmane ; l'influence de la rhétorique sur l'interprétation du coran et sa traduction en anglais ; Loi musulmane, en particulier dans l'école de Mâlik. publication plusieurs livres est d'articles en rapport à l'islam.

Nancy Ali, une ancienne nonne catholique convertie à l'islam


« Quand je sors avec mon hijab, les gens me regardent fixement , mais le hijab est mon armure », dit la soeur Nancy Ali.

Il y a 12 ans. Elle est activement impliquée dans le travail de répendre le message de l'islam (Dawa) dans différentes écoles et églises dans ce but. Elle est diplomée
en microbiologie, à l'université de Pitsburgh ( Etats- Unis).

Lors d'une conférence Nancy parle des expériences en tant que chrétienne, et des raisons qui l'ont prise loin du christianisme, à l'Islam.

extrait d'un commentaire d'un des participant:

Tous les chrétiens deviennent confus au-dessus des dogmes étranges de leur religion, certains souffrent dans le silence, tandis que d'autres font quelque chose à son sujet - elles convertissent en Islam ! Mais Allah bénit la soeur Nancy Ali.

autres commentaires:
Il est bon d'entendre ce qui incite des chrétiens à convertir en Islam.

prêtres et rabbins qui ont embrassé l’Islam


L’ Abbé Abdelmajid Jean-Marie Duchemin – France


Al Hajj Abu Bakr John Mwaipopo (Martin John Mwaipopo) – ex-Archevêque de l’Eglise Luthérienne – Zimbabwe


Viacheslav Polosin – ex-Evêque de Moscou – Russie


Yusuf Estes (Joseph Estes) – ancien prédicateur Evangéliste – Etats-Unis


Dr. Gary Miller (Abdul-Ahad Omar) – ex-Missionnaire – Etats-Unis


Kenneth L. Jenkins (Abdullah Al-Faruq) – ex-Pasteur de l’Eglise

Pentecôtiste - Etats-Unis


George Anthony (Abdurahman Anthony) – ex-Pasteur – Sri Lanka


Ibrahim Khalil Philobus (Al-Haj Ibrahim Khalil Ahmad) – ex-Prêtre de l’Eglise Copte – Egypte


Jerald F. Dirks (Abu Yahya) – ex-Pasteur de l’Eglise Méthodiste – Etats-Unis


Khadijah « Sue » Watson – ex-Pasteur et missionnaire – Etats-Unis


Raphael Narbaez, Jr (ex-« Ancien » des Témoins de Jéhovah) – Etats-Unis


Moisha Krivitsky – Musa Krivitsky – ex-Rabbin de Makhachkala

Anselm Tormeeda 14èmes prêtre et disciple de Majorcan de la CE de siècle. De son livre « le cadeau à l'intelligent pour réfuter les arguments des chrétiens »

Martin John Mwaipopo Ancien archevêque luthérien

Dr. M.H. Durrani Aumônier autrefois aîné à l'église de rue Mary (Anglicanne) dans Quetta, Pakistan. Doctorat en théologie (Th.D.)

Revérant David Benjamin Keldani un ancien évêque catholique et un expert en matière de documents et de langues bibliques,études philosophiques et théologiques à l'université de Fide de propagande, il était dans le corps enseignant de l'archevêque de la mission de Cantorbéry aux chrétiens assyriens (de Nestorian) à Urmia. .

Knud Holmboe converti à l'islam



Knud Holmboe (1902-1931) ALI AHMED

Knud Holmboe né en 1902 fils d'un homme d'affaires danois . Il a choisi une carrière journalistique .Sa première incursion dans la copie est apparue avec le journal Dagens Nyheder de Copenhague... Il aimait particuliérement voyager,et en 1924, il placa le pied pour la première fois sur le sol musulman. Une série d'articles sur la guerre française contre les alpinistes de Riff du Maroc a rapidement formé le noyau d'un livre, en lequel le jeune journaliste dépeint brutale guerre coloniale.
La révélation de la cruauté européenne contre les membres de la tribu musulmans portée sur la conscience de Holmboe. Rattrapé par une crise douloureuse d'identité et de foi, il a abandonné l'écriture avec l'intention de lecture et de réfléchir sur les grandes questions de l'histoire et de la religion qui l'ont préoccupé. Nous ne savons pas ce qu'il a lu . Mais quelque chose doit avoir frappé une corde, nous le trouveront émerger de sa retraite pour s'intéresser à l'Islam . Perse, en Irak, et en Turquie. Il a alors passé le temps aux Balkans, où il aucun doute a cherché les communautés musulmanes qui avaient survécu des guerres balkaniques. Bien qu'il ne donne aucune indication dans ses écritures quant à où sa conversion a eu lieu.
Avec son amour enthousiaste pour sa foi adoptée, il partage les attitudes principales avec d'autres écrivains musulmans européens du temps : individualisme, objectivité, et un manque remarquable de fanatisme.
en 1931 il fut tué par les italiens .Pourquoi? lisez ceci




Il y avait un livre - le « désert rencontre » écrit en 1931 par un homme appelé Knud Holmboe -

un converti danois à l'Islam qui a appris l'arabe . Il a décidé de voyager la largeur de l'Afrique du Nord et de l'extrémité (et fait le Hajj).
Il a voyagé à travers la Tunisie, la Libye, le Maroc et l'Algérie, étant témoin de ce que les Italiens ont fait aux Arabes sous le régime de Mussolini. Ils ont fait une campagne méchante contre les bédouins, les privant de nourritures et en les forçant à entrer dans les villes où il les torturer.

Il a rencontré beaucoup d'hommes pieux dans ses voyages, aussi bien que les nomades qui ne pouvaient pas lire ou écrire en arabe ; certains lui ont demandés de lire les rites de sorte qu'ils aient pu enterrer leurs morts ; ainsi eux ont pu accomplir leur cérémonie.Il a été par la suite enlevé par les Italiens et dessus jeté à un bateau slave.L'histoire ne finit pas là, il était le premier homme blanc européen a voir la vie et l'expérience avec ses yeux des Arabes torturés .
La couleur ne forme aucune barrière manifeste au mon monde.
Holmboe a été assassiné par le gouvernement italien après son pélerinage (Hajj). Le livre a été interdit en Italie, et il a été tué en conséquence.


le livre en ventes maintenant autorisé


Alexandre Russell Webb converti à l'islam ( premier converti américain)



Les conflits et les polémiques ici et ailleurs ont mené des Américains au foyer de l'Islam . En outre, de plus en plus de leurs voisins, de leurs collègues, et les amis sont des musulmans. Tandis que beaucoup ont été écrit au sujet de l'Islam américain contemporain et des études pilotes sont apparus dessus.

Des esclaves musulmans dans la période d'avant-guerre, comparativement peu est connus au sujet de l'Islam en Amérique . Cette biographie d'Alexandre Russell Webb, un des premiers musulmans américains , cherche à remplir cet espace. Webb était une figure centrale de l'Islam américain pendant le dix-neuvième siècles.

Il était un journaliste, un rédacteur, et un fonctionnaire. Webb a d'abord commencé à cultiver un intérêt pour d'autres religions et est devenu en particulier fasciné par Islam. Tout en servant de consul des États-Unis aux Philippines en 1887, il a pris un plus grand intérêt pour la foi et l'a embrassé en 1888, un des premiers Américains connus pour avoir fait ainsi. En quelques années, il a commencé à correspondre avec des musulmans importants en Inde. Webb est devenu un enthousiaste propagateur de la foi, fondant le premier établissement islamique aux Etats-Unis. Il a écrit de nombreux livres prévus pour présenter l'Islam aux Américains, et a servi de représentant de l'Islam au Parlement 1893 du monde des religions Chicago. En 1901, il a été nommé général turc honorifique de consul à New York et a été invité en Turquie, où il a reçu deux médailles des mérites. Dans cette première biographie de Webb, il est comme la fenêtre par laquelle explorer l'histoire des débuts de l'Islam en Amérique. Excepté sa foi adoptée, chaque aspect de la vie de Webb était essenciellement caractéristique de son endroit et temps. Il était tellement typiquement américain qu'il ait pu servir d'ambassadeur de l'Islam en Amérique (et vice-versa).Il a soutenu - le pluralisme, le libéralisme, l'humanité universelle, et un sens de civique et responsabilité politique - ce qu'il signifie être un musulman américain.

Claude Alexandre, Comte de Bonneval converti à l'islam (alias Humbaraci Ahmed Pasha)




Claude Alexandre, Comte de Bonneval (14 juillet 1675 - 23 mars 1747, Constantinople), officier militaire français qui se mettra au service de l'Empire Ottoman, se convertissant à l'Islam et devenant connu sous le nom Humbaraci Ahmed Pasha.Il est né d'une famille noble du Limousin issue de milites castri de la vicomté de Ségur; il servit d'abord avec distinction dans la marine française sous Tourville, et dans l'armée de terre sous Nicolas de Catinat et Louis-Joseph de Vendôme. Disgracié par Michel Chamillart pour avoir offensé Madame de Maintenon, il passa au service de l'Autriche, et combattit contre sa patrie en Provence, en Dauphiné, à Turin, à Malplaquet. S'étant encore fait disgracier pour avoir insulté le Prince Eugène, il se réfugia en Turquie, prit le turban (1730), fut fait pacha et combattit les Autrichiens.
Ses Mémoires ne sont pas authentiques.
Sa famille continue toujours a exister et possède toujours le chateau de COUSSAC-BONNEVAL (87)

mardi, décembre 26, 2006


CONCLUSION






Je veux juste, qu’à la lumière des quelques informations ici fournies, rappeler à tous de ne pas condamner sans s’informer, de ne rien rejeter sans avoir tous les éléments d’informations nécessaires afin de se forger une opinion éclairée et argumentée.
Quelle qu’elle soit, même opposée à la mienne, car je serai extrêmement étonné que tous soient d’accord avec moi!

Mais il est indéniable que nous avons assisté à un phénomène sans précédent dans l’histoire de l’humanité: l’Islam en quelques années s’est propagé dans le monde d’alors à une vitesse fulgurante. Aujourd’hui, en ce moment même, l’Islam est la religion qui connaît la plus grande expansion dans le monde, sur tous les continents.
Selon les statistiques de l’O.N.U., s’il n’y a aucun converti de plus - donc ne tenant aucun compte de la réalité de l’expansion de l’Islam - uniquement en projection des lois démographiques de la natalité, en 2050 ou avant, l’Islam sera la religion de la moitié des habitants de cette planète.
Comment ne pas reconnaître dans ce formidable développement de l’Islam, l’assistance de Dieu? La Bible nous le dit (voir Genèse 18). Le prophète qui annonce ce que Dieu n’a pas dit, Dieu le fera mourir.La Bible nous dit que Dieu est Omnipotent, il peut faire ce qu’Il veut.Soit Mohammad (pbsl) est envoyé de Dieu, soit il est un imposteur. Il ne peut être les deux. C’est un fait.Soit Dieu est omnipotent, soit Il ne l’est pas. Tous les croyants diront qu’Il l’est. Forcément, c’est la vérité. Nul ne peut restreindre les pouvoirs de Dieu.
Alors que dire de l’Islam? De son expansion extraordinaire?Si telle n’est pas la volonté de Dieu, alors il faut pouvoir expliquer:Pourquoi et comment Dieu a t‘il laissé tout cela arriver?Pourquoi et comment Dieu a t‘il laissé “un imposteur” parler en son nom? (113 sourates du Coran commencent par “Au nom de Dieu”)Pourquoi et comment Dieu a t‘il laissé “une hérésie” se développer sur 14 siècles?Pourquoi et comment Dieu peut-il laisser l’Islam se développer ainsi, malgré une adversité médiatique sans précédent?La seule conclusion possible est que telle est la volonté de Dieu.Et si telle est la volonté de Dieu, alors, les opposants à l’Islam réaliseront-ils, un jour, qu’ils s’opposent à Dieu?- Il y a chez les musulmans: Dieu et les envoyés de Dieu. Ils n’étaient ni des dieux, ni des demi-dieux, ni fils de dieu. Il s’agit de les aimer tous, de suivre leurs enseignements à eux, et non de les diviniser.Les faits sont que tous les prophètes de Dieu nous ont annoncé UN Dieu. UN. Ils n’ont jamais parlé d’associés, de partenaires et encore moins de Trinité de dieu. Mais des hommes ont décidé qu’il y a trois dieux en un. Des hommes ont voulu des dieux qu’ils peuvent voir, entendre, toucher. Des dieux qu’ils peuvent sentir et ressentir.
Même si voir, entendre, sentir, nous confinent à ce monde, et aux perceptions limitées de nos pauvres sens.Même si cela nous confine à ce monde dans lequel nous vivons, et ne faisons qu’un passage éphémère.
Par la méditation sur Un Seul Dieu, nous transcendons ces limites humaines que nulle créature ne peut imposer au Créateur: nous ne pouvons Lui donner une forme finie.
Même la forme d’un prophète- fils de Dieu, dit le Coran.Il faut mesurer ce que l’on avance sur Dieu, Être Infini, Créateur Suprême de l’Univers.Un univers que l’esprit humain ne peut encore appréhender. Notre Soleil fait partie des quelques 100 000 millions d’étoiles qui constituent notre galaxie. Il ne s’agit là que de notre galaxie seule: la Voie Lactée! Nous savons aussi, selon les astronomes, et les dernières informations reçues par le vaisseau spatial “Hubble” que plus de 20 000 millions autres galaxies équivalents au nôtre existent dans l’Univers!
Mais de quoi parlons-nous donc là?Un esprit humain peut-il raisonnablement appréhender de tels chiffres? Cela ne forge t‘il pas en nous une profonde humilité? Cela ne force t‘il pas notre respect envers ce Créateur?Le phénomène est identique dans l’infiniment petit.
C’est prodigieux! Les biochimistes le confirment chaque jour: les atomes ont des structures similaires à notre système solaire, avec son équilibre magnétique prodigieux, et ses électrons sur orbite!Alors donc, ce Créateur de ces milliards et milliards de corps célestes, le Créateur de cet Univers infini, Dieu, dit à l’homme de communiquer avec Lui.
Et de le faire DIRECTEMENT, sans intermédiaires, sans les saints ou dieux humains, sans clergé d’aucune sorte: DIRECTEMENT. Le même contact qu’Adam(p) avait avec notre Créateur.Quel privilège!Que vouloir de plus?Pourquoi offenser Dieu en cherchant des intermédiaires? Le Coran le condamne comme une des plus graves offenses à Dieu. Dans le Coran, Dieu recommande à l’homme d’adresser ses prières ou son repentir à Lui, et Lui Seul.
Dieu dit, dans le Coran, qu’Il est plus près de nous que notre propre veine jugulaire! Dieu, dans le Coran dit à l’Homme qu’Il nous montrera Ses signes dans l’infiniment grand et dans l’infiniment petit, jusqu’à ce que nous croyons, et termine le verset par ces paroles terribles:“Ne leur suffit-il de Ton Seigneur comme Témoin de toutes choses?” (le témoignage de DIEU n’est-il pas suffisant?)- Coran S41:53
Tout ce qu’Il demande au croyant, dans son intérêt, c’est de croire en Lui, un Dieu Unique, et de ne rien lui associer: ni homme, ni esprit. Dieu Seul. Il nous dit que nul ne portera le péché d’autrui.Il nous dit que le plus petit atome de bien nous sera décompté.
Il nous dit que le plus petit atome de mal nous sera décompté.Il nous dit que nul, sinon Lui, ne peut absoudre nos péchés.Dire le contraire c’est mentir sur Dieu. Et nul ne mentira impunément pendant longtemps, sur Dieu. Lui Seul détient le pardon, et Sa miséricorde est infinie envers ceux qui viennent vers Lui. Il ne cesse de le répéter inlassablement dans le Coran, son dernier message révélé et seul intact à ce jour.
Il nous dit, dans le Coran, que le meilleur d’entre les croyants est le plus pieux. Pas le plus beau, pas le plus blanc ni le plus noir, pas le plus riche, mais le plus pieux.Mohammad (pbsl) ne fut qu’un messager du Dieu de toutes les créatures de la Terre et des mondes, peu importe, à Dieu, que les uns y croient ou pas. Sa misssion ne consista qu’à délivrer le message, le Livre, le Coran, à implémenter dans sa vie les prescriptions révélées par Dieu, pour l’homme, dans le Coran. Il a rempli sa mission et nous a laissé le Coran et les souvenirs de sa vie exemplaire.
Un livre qui, tout en affirmant l’existence et l’unicité de Dieu, affirme Son immatérialité et Son absolue transcendance.Ce sont là quelques éléments fondamentaux de la foi islamique.

C’est ça l’Islam.Napoléon Bonaparte et ...l’Islam

Ce petit paragraphe a sa place et dans cette étude, et dans cette phase de conclusion, malgré votre étonnement. Vous allez vite comprendre pourquoi.Lorsque j’étais jeune, à l’école, cela m’aurait intéressé de savoir les vues de l’Empereur de France sur l’Islam.
Il aurait été intéressant de savoir qu’il a pris le temps, plusieurs fois, pendant sa campagne d’Egypte et surtout lors de son séjour final à Ste Hélène, d’écrire et de faire écrire ses vues sur la religion de l’Islam. Je signale que cette persistance de l’Islam chez Napoléon dans ces derniers jours, ruinent totalement l’hypothèse du mensonge politique ou stratégique en Egypte, comme avancée par certains historiens, pour justifier ses vues pro-islamiques. Il faut se rendre à cette évidence.Mais cela, je ne l’ai jamais appris à l’école, et on ne trouve guère encore trace de ses vues, à prix exorbitants, chez quelques antiquaires spécialisés. J’ai eu cette chance.
Je vous les livre, ci-dessous.
L’Empereur Napoléon Bonaparte, ayant une écriture illisible, faisait écrire par ses derniers amis et généraux son “journal intime”... Et dans celui-ci il a enregistré son évaluation du Judaïsme, du Christianisme et de l’Islam.
Il dit en substance :-Moïse (p) a reçu de Dieu, un message pour guider les hébreux sur le droit chemin. Mais conséquemment, ces derniers ont gardé pour eux-seuls les merveilleux enseignements de Moïse (p). Ils ont détourné ce message pour le confiner à “une race d’élus de Dieu”, au lieu d’en faire profiter le monde.-Puis vint Jésus (p), dit-il. Jésus (p) a souligné une belle vérité sur Dieu. Il a dit que Dieu est Unique et que vous devez l’aimer de tout votre cœur, et aimer votre voisin comme vous même.


Mais, dit Napoléon, après la mort de Jésus (p), un groupe de politiciens, de Rome, a vu dans cette religion, une possibilité de contrôler une masse importante de gens. Ils ont donc élevé Jésus (p) au rang de Dieu, et partie de Dieu Lui-même. Ils ont ensuite donné à Dieu des partenaires.
Ils étaient maintenant trois en un.Napoléon a dit : c’est de l‘idolatrie.-Puis enfin, l’Empereur Bonaparte a enregistré ceci: à un certain moment de l’histoire, apparut un homme appelé “Mohamed” (Mohammad -pbsl). Et cet homme a dit la même chose que Moïse (p), Jésus (p), et tous les autres prophètes: il n’y a qu’Un Dieu. C’était le message de l’Islam.L’Empereur Napoléon Bonaparte a dit: “l’Islam est la vraie religion”.
Et il a ajouté que plus les gens liront et deviendront intelligent, plus ils se familiariseront avec la logique et le raisonnement. Ils abandonneront les idoles, ou les rituels qui supportent le polythéisme, et ils reconnaîtront qu’il n’y a qu’Un Dieu. Et par conséquent, j’espère que le moment ne tardera pas où l’Islam prédominera le monde, car .....il prédominera le monde.Ainsi a parlé l’Empereur Napoléon Bonaparte.Réf. succinctes: - Correspondance de Napoléon 1er: tome V, p518Correspondance de Napoléon 1er: pièce N°3148Journal inédit de Sainte Hélène, de 1815 à 1818 (Gal Baron Gourgaud)Références complémentaires : voir bibliographie à la fin Ce sont là des sources précises, vérifiables, sur l’évaluation de l’Islam par Napoléon Bonaparte, Empereur de France.Ses prévisions se déroulent, aujourd’hui, sous nos yeux.


Voilà pourquoi cela nous intéresse, ici.
En annexe, je précise que dans “Correspondance de Napoléon 1er”, tome V, p518 “Correspondance et Mémoire sur l’administration intérieure 1798-1799”, la pièce n°4287 du 17 Juillet 1799, Napoléon Bonaparte prononce aussi officiellement sa déclaration de foi à l’Islam.
Et la même information figure aussi dans un autre ouvrage (Nakoula): sa profession de foi en arabe (j’ai le photostat), traduite et publiée par M. Desgranges aîné, secrétaire-interprète officiel, et imprimé en 1839 à l’Imprimerie Royale - p130 et 131.
ieu possède les secrets de l’âme, dit le Coran. Bonaparte devait être considéré comme musulman, puisqu’il l’a dit et écrit!
De ces archives nationales historiques-là de la Guerre, on n’en fera jamais la une des journaux! Si ce n’est ici, dans ce livre, vous aurez peu de chance de relire cela.
Mes références sont toutes vérifiables et officielles pourtant!Épilogue Dans tout esprit objectif où les évidences, les faits vérifiables, priment sur l’émotion, certaines questions deviennent inévitables:- “...et si le Coran disait vrai?”- “...et si réellement, comme cela a été ici démontré, Dieu à travers Moïse (p), dans la Bible (Deut. 18:18) nous avait bien demandé de suivre Mohammad (pbsl)?- “...et si Jésus (p) disait vrai lorsqu’il annonçait la venue d’un autre messager qu’il fallait suivre? (Jean 14:26 et autres)- “...et si Jésus (p) disait vrai lorsqu’il vous annonçait que seuls ceux qui obéissent à Dieu SEUL entreront dans le Royaume des cieux, et NON ceux qui croit en lui seulement? (Mat 7:21)- “...et si Jésus (p) parlait de ceux qui se disent chrétiens, comme étant ceux qu’il a écartés dans sa définition des vrais disciples?N’a t‘il pas dit: “Beaucoup me diront en ce jour-là, Seigneur, Seigneur, n’est-ce pas en ton nom que nous avons prophétisé , en ton nom que nous avons fait de nombreux miracles? Alors, je leur déclarerai: “Eloignez-vous de moi, je ne vous ai jamais connu...” (Mat 7:22).
Qui d’autres que vous les chrétiens, l’appelleraient “Seigneur”? Les hindous? Les musulmans? Les juifs?L’hypothèse qu’il s’agit en fait des “mauvais chrétiens” ne résiste pas à cette simple logique: aucun “mauvais chrétien” ne prophétiserait ni ne réaliserait un quelconque miracle au nom de Jésus (p).
J’ai essayé d’exposer, avec mes humbles moyens, une autre image de l’Islam, d’exposer son origine et sa consistance face à des parallèles que j’ai été forcé de faire avec le Christianisme, lorsque des dogmes de ce dernier contredisaient des éléments fondamentaux de l’Islam.
J’espère avoir ainsi contribué à lever des préjugés.Mais amis lecteurs, chrétiens ou non, l’appréciation ultime des éléments que je vous apporte ici, reste souverainement vôtre.Comme vous, cette évaluation de l’Islam pour ce qu’elle est réellement, d’autres le font actuellement. Jugez plutôt.- Le gouvernement chinois a fait, en 1992, une déclaration de loi.
Celle-ci disait en substance que l’Islam est une religion indigène à la Chine, le Christianisme une religion étrangère à la Chine.

Cela veut donc dire que l’Islam est officiellement reconnu comme partie de la culture chinoise. C’est, après tout normal, avec les 50 millions de chinois musulmans en Chine.- Le gouvernement japonais a pris conscience qu’au 21ème siècle, ils auront à faire face à de multiples problèmes qui feront perdre aux japonais leur fibre morale, leur discipline et leur dévouement au travail pour un sort meilleur. Aussi ils ont chargé une commission, la MITA, d’étudier comment perpétuer leurs institutions face aux problèmes prévisibles des 50 prochaines années.
Le Professeur Yugo Itagaki, a ainsi été chargé d’évaluer différentes religions dans cette perspective. Il a voyagé dans différents pays, dont l’Arabie Séoudite, dans le cadre de cette mission, mandaté par le gouvernement japonais. Ces conclusions, rendues publiques, ont été, en substance celles-ci:Le Japon a atteint son niveau actuel de progrès grâce à son indépendance économique et financier, aux durs labeurs des japonais, et à une adhésion à certaines valeurs morales. Cependant, ce système de valeur commence à s’effriter.
Dans les circonstances présentes, l’Islam est la religion qui offre de profondes solutions aux graves problèmes que le Japon aura à affronter au 21ème siècle.Il n’a pas dit Judaïsme ou Christianisme.

Il a dit l’ISLAM.Le Japon, avec toute sa puissance économique, avec son extraordinaire capacité informatique, avec sa technologie de pointe, le Japon donc, s’est rendu à l’évidence que l’Islam est la religion de leur avenir!Cela non plus, vous ne le lirez dans les gros titres de journaux.Plus médiatique cependant, est l’inquiétude que suscitent les vastes mouvements d’adhésion à l’Islam et ses valeurs “archaïques”, usant de contre-vérités flagrantes ou improvisant des explications les plus fantaisistes, chacun y va de sa plume et de sa tribune pour ramener ce phénomène, à un mal de société, à un manque d’informations, à un opportunisme de gueux, voire à une triste dérive.

Jugez plutôt:




L’Amérique s’inquiète de ces 5000 GI’S (soldats) qui se sont convertis à l’Islam, en l’espace de 4 mois passés en Arabie pendant la Guerre du Golfe.
Lire le Figaro-Magazine du 13 Juin 1992, malgré les énormités qui font sourire les musulmans informés.Lire aussi le quotidien US, San Antonio Express News du 19 Février 1996 qui annonce des faits précis, chiffres à l’appui, et cherche à comprendre comment des petits et grands délinquants sont radicalement changés après leur conversion à l’Islam, en devenant des employés et des pères de famille modèles.
La France s’inquiète: “Itinéraire d’un loubard lorrain devenu missionnaire de l’intégrisme”, ”la délinquance au service du maquis islamistes?” (“L’Evènement du Jeudi” du 8 au 14/09/94).
Malgré ces titres alarmants, le journaliste décline quand même que cela voulait dire former des mini-groupes d’études et d’alphabétisation dans les banlieues, cela voulait dire lutter -efficacement- contre les trafiquants de drogue! Un petit jeu médiatique destiné à toujours tourner en dérision l’Islam et ses convertis.
Bien triste jeu.Cela dit, tout ceci ne veut forcément pas dire que votre évaluation doit être la leur.Je ne vous demande pas de choisir entre le Christianisme ou l’Islam. Je vous suggère seulement de vous informer à des sources sûres afin d’aboutir à une évaluation réfléchie de ces valeurs spirituelles, et non de perpétuer une tradition ancestrale ou des habitudes ou des cérémonies que vous appréciez.
J’insiste bien sur le fait que je ne fais pas ici une réduction simpliste de la foi ou la piété de quiconque, je vous rappelle humblement que notre religion à tous doit être le fruit d’un choix soumis à la Raison, si c’est déjà le cas, tant mieux. On peut très bien naître musulman, ou juif, ou chrétien, puis après évaluation objective, persister dans sa voie d’origine.
Alors, ce choix, cette position, vous pourriez forcément la défendre sur la base de saines évidences et d’analyses, par vous élaborées, à travers cette faculté de raisonnement dont Dieu nous a tous pourvu, lorsque viendra Le Jour. Terrible mais inéluctable moment où chacun sera jugé selon sa foi et ses actes. Et rien d’autres. Car nous n’aurons aucune excuse lorsque viendra, demain ou dans 50 ans, le temps, sombre et froid, des vains regrets éternels: une fosse creuse et la terre comprimant nos poitrines, dans lesquels nos cœurs auront cessé de battre. Pour toujours.
Le Saint-Coran S3V64
Dis (O Mohammad): O Gens du Livre (juifs et chrétiens), venez à une parole commune entre nous et vous: que nous n’adorions que Dieu, sans rien Lui associer, et que nous ne nous prenions point les uns les autres (des hommes comme nous) pour seigneur en dehors de Dieu. Puis s’ils tournent le dos, dites: “soyez témoins que nous, nous sommes soumis.
Le Saint-Coran S2V256
Nulle contrainte en religion, la vérité se distingue de l’erreur.Si ce livre vous a éclairé sur l’Islam, ou mieux, vous a informé de la substance du message islamique, ne serait-ce que légèrement, tout le crédit revient à Allah (Dieu selon la terminologie chrétienne).

Je suis conscient que certaines informations ou analyses pourraient bouleverser certaines personnes. Si c’est le cas, posez-vous la question de savoir pourquoi, avant de condamner: contre-vérités, insultes, ou bouleversement de faits ou convictions que vous croyiez établis?Mes sources sont toutes dignes de foi et contrôlables.Dans tous les cas, alors, il vous sera facile de me prouver mes erreurs, si vous ne le pouvez, tenez-en compte, et surtout ne rangez pas ce livre au placard de l’oubli.Mes objectifs, constructifs, et les moyens pour les atteindre ont été exposés dès le début.
A aucun moment je n’ai dévié de mon approche méthodique, rationnelle et largement argumentée du sujet, puisant mes informations de sources érudites et fiables.Tout en maintenant chaque ligne de ce livre, je m’excuse auprès de ceux qui, éventuellement submergés par l’émotion, ont cru y déceler autres choses. Et je reste ouvert, via l’association, à ce que l’on me prouve mes fautes.

Dieu Seul est infaillible.