Merve Kavakci est musulmane.

Politicienne Musulmane expulsé du Parlement pour Porter un Voile (Istanbul, La Turquie)
Depuis qu’elle a été expulsée du parlement turc pour portait un hijab, Merve Kavakci, est devenu défenseurs du droit de porter le hijab. Mme. Kavakci a donné des discours sur CNN, à la Maison des Seigneurs (the House of Lords) et à l’Université de Harvard. Elle enseigne acutellement à l’Université de George Washington à l’Ecole d’Elliot des Affaires Internationales et a récemment écrit un livre sur son experience en Turquie intitulé "Scarfless Democracy."

Kavakci ( parti musulman) est entrée au Parlement en mai 1999 pour servir les électeurs qui l'ont élue. Les parlementaires ( homme et femme), ont salué Kavakci avec des cris « sortez, sortez! » Les cris hostiles ont continué pendant quarante minutes et ont été arrêtés seulement quand le premier ministre Bulent Eceveit a soulevé sa main, s’est dirigé dans sa direction, et beuglé « mettez cette femme à sa place. »
« J'ai été terrifié, » rappel Kavakci .
Onze jours plus tard, Kavakci a perdu sa citoyenneté en tant que citoyenne turc et a été accusé « d'inciter la haine parmi des personnes » et des « efforts pour détruire la structure laïque de l'état turc. » Kavakci a été interdit de campagne pour un siège au parlement pendant cinq ans. En conséquence elle s'est déplacée aux Etats-Unis avec son mari et ses deux filles.
La mère de Kavakci a perdu sa position d'enseignement à l'université d'Ataturk parce qu'elle a choisi de porter le hijab. Et son père, Imam Yusuf Ziya Kavakci a dû également démissionner pour avoir soutenu le droit de porter le foulard il était le doyen des études islamiques à l'université.Kavakci n’a pas cessé sa lutte pour changer la politique du gouvernement de la Turquie, introduissant un procès contre la Turquie à la cour européenne des droits de l'homme à Strasbourg, France.




Ces interdictions sont dans la violation de l’Article 18 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et d’autres engagements et lois internationaux.

« Les états peuvent en effet être séculaires, » a dit Kavakci, mais « est-ce que les gens peuvent ou devraient être obligés de devenir séculaires ? Est il légitime d'exiger à quelqu’un de laisser ses convictions religieuses à la maison pendant que lui ou elle traverse l’encadrement de sa porte? » Kavakci croit que la lutte des gouvernements l'agressivité laïques avec les femmes qui veulent porter le hijab ne finira pas bientôt et que cette lutte reflète « d'un malentendu profond et croissant entre les femmes musulmanes et le reste du monde. »



Des Policiers turc enlevant le voile à une étudiante d'un collège.









Les milliers de femmes ont eu leur accès aux études supérieures raccourcie, a dit Jonathan Sugden, un chercheur sur la Turquie pour la Human Rights Watch. Les femmes qui choisissent de couvrir leur tête dit-il « ne peuvent pas entrer dans l'université ou sont expulsées...»

Arionakeha Elijah, en classe de premiére au lycée Salmon River, a été suspendu pour porter un bandanna rouge pour marquer son rite de passage en tant que membre du Iroquois, une tribu américaine indiène.Il a fait Trois Mois d'Emprisonnement. (Fort Covington, New York, Etats-Unis)

Les fonctionnaires d'une école aux Etats-Unis ont suspendu Nashala Ahearn de l’âge de 12 ans pour refus d'enlèver son voile.

Ces enfants sikhs ne peuvent pas aller à l'école en France parce qu'ils portent des turbans. Les lois de Laïcité en France interdisent des symboles religieux "apparents" dans les écoles et les bâtiments d'Etat.

POURTANT EN FRANCE:L’article 225-1 du Code pénal prévoit :
« Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs mœurs, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race, ou une religion déterminée. (…) »

L’article 225-2 prévoit :
« La discrimination définie à l’article 225-1, commise à l’égard d’une personne physique ou morale, est punie de deux ans d’emprisonnement et de 200.000 F (30.000 €) d’amende lorsqu’elle consiste :
1° A refuser la fourniture d’un bien ou d’un service(…)4° A subordonner la fourniture d’un bien ou d’un service à une condition fondée sur l’un des éléments visés à l’article 225-1 »

Les lois françaises de laïcité interdisent un enfant portant un yarmulke pour aller à une école publique.Rabbin français : Portez les casquettes, pas de calottes, en public

POURTANT EN FRANCE:
L’article 225-1 du Code pénal prévoit :
« Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs mœurs, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race, ou une religion déterminée. (…) »

L’article 225-2 prévoit :
« La discrimination définie à l’article 225-1, commise à l’égard d’une personne physique ou morale, est punie de deux ans d’emprisonnement et de 200.000 F (30.000 €) d’amende lorsqu’elle consiste :
1° A refuser la fourniture d’un bien ou d’un service(…)4° A subordonner la fourniture d’un bien ou d’un service à une condition fondée sur l’un des éléments visés à l’article 225-1 »





Alma Levy et Lila Levy converti à l'Islam.

Alma Levy, seize ans, et Lila Levy, dix-huit ans,
toutes deux converti à l'islam étaient lycéennes au lycée Henri-Wallon à Aubervilliers en France. Elles ont découvert l’Islam via leurs grands-parents , Lila a assisté à Reims à une conférence sur «Islam et Palestine». Elle s'est ensuite inscrite pour recevoir des informations du Secours Islamique.Les deux jeunes filles se sont aventurées seules, aidées par «des amis et des livres», sur le chemin de la pratique.Depuis, avec des amies, et notamment le père de l'une d'elles converti à l'islam depuis son remariage avec une Tunisienne, elles liraient le Coran en français. Ecoutant également des cassettes de prédicateurs musulmans, comme Hassan Iquioussen, de l'UOIF, ou Hani Ramadan du centre islamique de Genève.Elles avaient choisi depuis quelques mois de porter le hijab. Le 11 octobre 2003, le conseil de discipline de l'etablissement prononçait leur exclusion définitive parce qu'elles avaient refusé d'oter leur voile.



POURTANT EN FRANCE:

L’article 225-1 du Code pénal prévoit :
« Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de leur origine, de leur sexe, de leur situation de famille, de leur état de santé, de leur handicap, de leurs mœurs, de leurs opinions politiques, de leurs activités syndicales, de leur appartenance ou de leur non-appartenance, vraie ou supposée, à une ethnie, une nation, une race, ou une religion déterminée. (…) »

L’article 225-2 prévoit :
« La discrimination définie à l’article 225-1, commise à l’égard d’une personne physique ou morale, est punie de deux ans d’emprisonnement et de 200.000 F (30.000 €) d’amende lorsqu’elle consiste :
1° A refuser la fourniture d’un bien ou d’un service(…)4° A subordonner la fourniture d’un bien ou d’un service à une condition fondée sur l’un des éléments visés à l’article 225-1 »

Hilal jeune élève de douze ans, écartée des cours au collège Rémy-Faesch de Thann (Haut-Rhin),
depuis la mi-octobre parce qu’elle refusait d’enlever son foulard , a été exclue définitivement de
l’établissement à l’issue d’un conseil de discipline.






Myriam, une jeune lyonnaise de 22 ans converti à l'islam.

Myriam, une jeune lyonnaise de 22 ans qui a embrassé l’islam après un voyage en Tunisie. Très pratiquante, Myriam porte le voile, sauf au travail et chez elle (évidemment) .Si elle a fait part de son choix à sa mère, qui a du mal à l'accepter, son père n'est toujours pas au courant.