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mercredi, janvier 03, 2007

Claude Covassi (espion suisse) converti à l'islam nommé maintenant Adil Claude Covassi.













Les révélations de Les révélations de Claude Covassi chargé de piéger le Centre islamique de Genève : « Ma conversion est sincère, je ne veux plus trahir mes frères en Islam » Par Ian Hamel mardi 2 mai 2006
Ce témoignage est exceptionnel. Claude Covassi, 36 ans, a travaillé deux ans pour les services secrets suisses, de 2004 à 2006. Sa mission ne consistait pas seulement à espionner le Centre islamique de Genève (CIG), dirigé par Hani Ramadan, le frère aîné de Tariq Ramadan. L’opération baptisée « Memphis » avait aussi pour mission d’inventer un lien entre certains jeunes salafistes partis se battre en Irak, via la Syrie, et le CIG. Une manipulation totalement illégale.


Pour approcher Hani Ramadan, devenir son confident, et ainsi mieux le piéger, Claude Covassi s’est converti à l’islam. Cette conversion est-elle devenue sincère ? C’est ce qu’affirme ce Genevois au passé trouble. Le 23 février 2006, Claude Covassi a fini par « cracher dans la soupe », révélant sa mission au quotidien « La Tribune de Genève ». Depuis, l’homme est en fuite et craint pour sa vie.



Après des contacts rendus très difficiles pour échapper aux « grandes oreilles », l’ancien espion a accepté de nous rencontrer dans une capitale arabe, de l’autre côté de la Méditerranée, dont il nous a demandé de taire le nom par mesure de sécurité. Grand, large d’épaules, le cheveu court et la barbe finement taillée, Claude Covassi a suivi un long périple depuis son départ précipité de Genève le 19 février dernier. Bâle, Zurich, Madrid, Las Palmas, en Espagne. Puis il a rejoint le Sénégal, la Mauritanie et le Maroc par la route. L’avion l’a ensuite déposé vers sa destination actuelle. Seul, sans un sou (il mange pour un euro par jour), constamment sur le qui-vive, Claude Covassi, nous a mis entre les mains de nombreux documents afin de prouver sa bonne foi.
A trois reprises, il a demandé à être entendu en Suisse par la Commission parlementaire chargée de contrôler les activités du renseignement suisse. Celle-ci fait pour l’instant la sourde oreille. « Veut-on me pousser à tout publier sur Internet pour faire éclater la vérité ? Cela risque de faire des dégâts », prévient la « taupe » du CIG.

Vous vous créez sans cesse de nouvelles adresses email, vous changez constamment de puces de téléphones portables pour ne pas être repéré. Votre vie est-elle à ce point en danger ?


J’ai été menacé par un officier du Service d’analyse et de prévention (SAP). Mon appartement a été cambriolé le 14 février, le lendemain, j’étais attaqué par deux Arabes au cutter rue des Voisins à Genève. Blessé, j’ai déposé une plainte au poste de Plainpalais, rue de Carouge, plainte enregistrée par un gendarme dont le matricule est GO 566. Les gendarmes m’ont emmené aux urgences à l’hôpital cantonal. Le 19 février, deux autres types ont tenté de défoncer la porte de mon appartement. J’ai appelé la gendarmerie, qui a réussi à arrêter l’un des types, mais ils l’ont relâché très rapidement. Après tout cela, j’ai préféré quitter précipitamment la Suisse.


Imaginez-vous sérieusement des espions suisses se transformer en tueurs ?

Non, mais ils peuvent déléguer ce sale boulot à d’autres services secrets étrangers ou, pire, me dénoncer à certains islamistes. N’oubliez pas que pendant deux ans, de 2004 à 2006, j’ai eu pour mission d’infiltrer certains groupes à caractère terroriste, et j’ai effectué plusieurs missions dans des pays arabes. Certains radicaux peuvent vouloir se venger.


Est-ce la meilleure solution de se cacher dans un pays musulman ?

Je suis musulman. Cela a fait exactement 2 ans le dimanche 30 avril. Ma conversion est sincère. Je me suis vite senti minable d’espionner des gens qui se montraient aussi attentionnés avec moi. Hani Ramadan, le directeur du Centre islamique de Genève, est l’homme qui m’a le plus aidé dans la vie. J’apprécie Hani Ramadan pour ses qualités humaines, ce n’est absolument pas le dangereux extrémiste que décrivent les services secrets suisses.


Pouvez-nous confirmer que le Service d’analyse et de prévention (SAP), les services intérieurs suisses, voulait piéger Hani Ramadan ?
Les services secrets libanais avaient informé le SAP que de jeunes musulmans vivant à Genève s’apprêtaient à se rendre en Irak via la Syrie. J’avais pour mission d’infiltrer ce groupe et de les accompagner. C’était en janvier 2005. A mon retour, le SAP n’avait qu’une obsession : impliquer Hani Ramadan, c’est-à-dire fabriquer des fausses preuves contre le CIG, prouvant que celui-ci recrutait des combattants contre les Américains. Or, non seulement Hani Ramadan n’y était pour rien, mais s’il avait été au courant, il aurait tout fait pour dissuader ces jeunes de partir en Irak.
Existe-t-il effectivement un tel réseau jihadiste en Suisse, et avez-vous rencontré des jeunes musulmans qui partaient se battre en Irak ?


Oui. Un réseau est organisé par les services secrets syriens depuis Genève, et il conduit à la mosquée Al-Fateh à Damas, où je me suis rendu. La plupart de ces jeunes se sont faits coincer au Liban ou à la frontière turque. En Syrie, j’ai effectivement côtoyé des volontaires qui se rendaient en Irak, notamment un jeune musulman français de 17 ans.
Que pensez-vous des attentats terroristes ?
Je suis contre et les musulmans doivent s’unir pour lutter contre le terrorisme. J’ai effectivement rédigé un rapport sur le réseau organisé par les services secrets syriens, mais pas sur les autres groupes islamistes, car je considère que l’action des musulmans qui se battent en Irak n’est pas plus illégitime que la guerre illégale menée par l’administration Bush en Irak.
Comment jugez-vous les services secrets suisses ?
Je regrette d’avoir travaillé pour le SAP. En revanche, j’ai mené plusieurs missions à l’étranger pour le Service de Renseignements Stratégique (SRS), qui dépend du Département de la Défense. Le SRS conduit, lui, une action de prévention contre les attentats terroristes, ce qui n’est pas en contradiction avec ma foi.
Pourquoi les services secrets suisses ont-ils fait appel à vous ? Vous n’étiez pas musulman et vous ne parliez pas l’arabe.
Je n’ai pas toujours été très honnête dans ma vie. Ayant été en contact avec des trafiquants de cocaïne, la brigade des stupéfiants de Genève m’a recruté comme agent provocateur. Je passais des commandes de drogue et au moment du « deal », les policiers arrêtaient le vendeur. Le Service d’analyse et de prévention (SAP) a pensé que je pouvais agir de la même façon vis-à-vis des musulmans. Si je me convertissais, je pourrai obtenir la confiance d’Hani Ramadan et des personnes qui fréquentent le Centre islamique de Genève. Seulement voilà, ma conversion est devenue sincère.
Comment peut-on vous croire ? Votre vie n’est pas exemplaire, une condamnation à huit mois pour trafic d’anabolisants vous attend en Suisse.
L’islam a transformé mon existence. Que la commission parlementaire sur les services secrets accepte de m’entendre et je rentre immédiatement en Suisse. J’ai pris soin d’enregistrer mes trois derniers entretiens avec mon officier traitant du SAP, ces bandes confirment mes accusations. De plus, je suis prêt à remettre les rapports, que j’ai moi-même rédigé pour les services secrets, à toutes les personnes que j’ai espionnées.


Propos recueillis par Ian Hamel

Tribune de Genève, 24 mai 2006

Interview : Hani Ramadan et Claude Covassi dénoncent les services secrets suisses et le gouvernement fédéral


, par Propos recueillis par Valérie DUBY et Alain JOURDAN

Question :
"Avez-vous obtenu les explications que vous attendiez ?"

Hani Ramadan :


"Non. Je n’ai toujours pas reçu de réponse de Christoph ­Blocher [ministre du Département fédéral de justice et police, dont dépendent les services secrets]. J’attends toujours qu’il m’explique pourquoi on a infiltré le Centre islamique de Genève. Cela fait maintenant trois mois que la presse a révélé que j’étais espionné. Le silence des autorités me trouble. Vue l’ampleur prise par cette affaire, notamment en Suisse alémanique, je crois qu’il est temps que l’on fournisse des éclaircissements."

-"Claude Covassi (alias la taupe) doit donc revenir en Suisse ?" [Les services secrets l’ont incité à s’exiler après qu’il ait subi une agression et que son domicile ait été cambriolé à Genève]


"Il ne peut pas rester dans cette situation. Vous vous rendez compte ? un Suisse qui se réfugie en Egypte... Il est dans une position extrêmement délicate, surtout depuis que l’on sait qu’il a aidé à arrêter des terroristes. Sa vie est peut-être en danger. On ne peut pas le laisser comme cela. C’est maintenant une question humanitaire. Il faut le faire revenir, pour qu’il s’explique une fois pour toutes. Je m’interroge, pourquoi ne le fait-on pas ? De quoi a-t-on peur ?"

-"Vous lui en voulez ?"


"Non. Il s’est repenti. L’Islam accorde le pardon. Aujourd’hui, il agit en bon musulman. Il a un discours nuancé. Je crois que c’est pour cela qu’il veut parler. Il était d’accord pour traquer les terroristes, mais pas pour monter une cabale contre moi. Ce n’est pas plus compliqué que cela. Il y a une limite qu’il n’a pas voulu franchir.
La logique qui consiste à frapper des innocents est calamiteuse pour l’Islam. Le terrorisme ne repose sur aucun des fondements du droit musulman."

-"Il porte des accusations très graves..."


"Oui, il affirme avoir les enregistrements d’une conversation avec son officier traitant qui lui dit « Ramadan est une cible à éliminer ». On lui aurait demandé d’introduire les noms des hommes partis combattre en Irak sur les fichiers informatiques du Centre islamique. C’était pour pouvoir me coincer."


-"Comptez-vous déposer plainte ?"


"Jusqu’à maintenant, j’ai fait confiance à nos institutions. Le conseiller national Ueli Leuenberger a entamé des démarches par deux fois. Pour l’instant, elles sont restées sans suite.
Ce qui est sûr, c’est qu’on ne peut pas laisser une telle affaire en suspens. Il y a eu violation de la sphère privée. Je ne peux pas en rester là. Je vais voir s’il faut engager une action en justice, d’autant que c’est la communauté musulmane qui a été visée dans cette affaire."

-"Vous ne faites plus confiance aux institutions ?"


"Je commence à avoir des doutes. Quand j’entends dire qu’on a proposé à Claude Covassi de revenir clandestinement en Suisse, cela me paraît étrange. Il doit rentrer en Suisse de façon officielle et être entendu par la commission parlementaire."

Claude Covassi :
"« J’ai donné vingt pour cent des informations que je détiens. Je peux encore tenir », ironise Claude Covassi. Ce qui le fait moins rire, c’est d’attendre, depuis plus de deux mois, d’être auditionné par la commission de gestion en charge de la surveillance des services de renseignements suisses. « Que me propose-t-on ? De revenir clandestinement en Suisse. C’est inadmissible. Je ne rentrerai qu’avec la certitude d’être en sécurité dans mon pays. »
Lundi 22 mai 2006, Claude Covassi a eu un échange téléphonique avec Philippe Schwab, le président de la commission de gestion en charge de la surveillance des services de renseignements suisses, lequel lui aurait demandé d’arrêter, de stopper ses contacts avec la presse. « C’est le Service de renseignements stratégiques qui m’a expatrié. Il est hors de question de revenir dans de telles conditions. Il n’y aura pas de réunion secrète dans un bureau, ni d’arrangement en famille. Les propositions que l’on me fait sont inacceptables. » Claude Covassi le sait. Il risque d’être accusé de livrer des informations sur la sécurité du pays. « C’est incroyable. La Suisse refuse de m’entendre, alors que le Mossad est intéressé par mes informations. » Philippe Schwab ne commente pas les entretiens qu’il aurait eus avec la taupe. « Nous devons évaluer la crédibilité de nos sources. Il devait nous fournir des documents que nous n’avons pas reçus. »

Propos recueillis par Valérie DUBY et Alain JOURDAN

VOICI LA SUITE ( quelque temps aprés...)

De l'agent suisse infiltrateur du centre islamique contre Hani Ramadan.

Communiqué de l'agent des services secrets suisses qui avait « infiltré » le centre islamique dirigé par Hani Ramadan

J'ai reçu ce matin le dernier communiqué de presse de Claude Covassi, l'agent secret en question.(J'inclus également le lien vers le très long article du Los Angeles Times qui est consacré a cette affaire.)www.latimes.com/news/nationworld/world/la-fg-mole22may22,0,5675485.story?coll=la-home-headlines
Rest of the text:


Roschacher et « l’Axe des Imbéciles »

Mais qui est donc le procureur Roschacher ?

Il est celui qui a détruit la vie du banquier Oskar Holenweger sur les allégations imaginaires d’un trafiquant de drogue. Il est celui qui a mené la banque Al-Taqwa à la faillite, et placé en détention sans preuves son président, Youssef Nada, sur simple demande des autorités américaines. Il est celui qui, toujours à la demande des autorités américaines, a fait emprisonner pendant deux ans des musulmans yéménites avant de s’apercevoir qu’il n’y avait aucune charge contre eux. Il est celui qui voulait faire interroger au Maroc un musulman résidant à Genève. Il est celui qui a laissé un agent de la CIA recherché par Interpol séjourner sur notre territoire sans être inquiété.
C’est sans doute l’énergie du désespoir qui a poussé le Ministère Public de la Confédération, le jeudi 8 juin dernier, à s’attribuer le mérite du démantèlement d’une cellule terroriste qui préparait un attentat contre un avion de la compagnie El Al dans notre pays.
Puisqu’il juge mon activité caduque, Roschacher ne verra sans doute aucun inconvénient à ce que je livre aux intéressés les informations que j’ai collectée pour son bureau, ainsi qu’aux médias celles qui concernent les activités illégales que la PJF

m’a autorisé à accomplir afin d’assurer ma crédibilité auprès de groupes à caractère terroriste.
Tout le monde se doutait déjà que le procureur Roschacher était un incapable, on sait aujourd’hui qu’il est également un laquais rampant, subalterne d’une puissance étrangère. Son action n’aura servi qu’à inaugurer un nouveau rapport entre Berne et Washington : l’Axe des Imbéciles.
Commission de gestion
La Commission de gestion, ainsi que le DFAE et le DFJP, ont refusé d’assurer ma protection pour mon retour en Suisse. L’ambassade Suisse au Caire a également refusé d’entrer en matière.
C’est donc par mes propres moyens que j’ai entamé un retour il y a une semaine.
Je vais encore patienter jusqu’au 15 juin prochain que cette Commission indique enfin une date précise (avant la fin de la session parlementaire) à mon conseil pour mon audition. Passé ce délai, Monsieur le président Hofmann, ses camarades de classe et le secrétaire Schwab pourront aller passer leurs vacances estivales chez les grecs, et lire dans la presse internationale ce qu’ils refusent d’entendre à huis clos.
Depuis le premier article de Valérie Duby dans la Tribune de Genève, le 23 février dernier, je ne demande qu’un chose : être entendu par la commission de gestion, dont le travail est justement d’établir les disfonctionnement que je dénonce. En quoi est-ce donc si compliqué ?


Services secrets israéliens
Selon du conseiller national Ueli Leuenberger, la rumeur indiquerait que je serais en « contact » avec les services secrets israéliens. Comme j’ai déjà eu l’occasion de le dire aux journalistes Beat Kraushaar du Blick et Ian Hamel du Matin Dimanche : la politique d’épuration ethnique du peuple palestinien organisée par l’Etat d’Israël exclut pour moi toute possibilité de coopération avec leurs services de sécurités, ainsi que ceux de leurs affiliés.
Afin d’être encore plus précis, et parce qu’il y a des erreurs qu’il n’est pas nécessaire de reproduire indéfiniment, je tiens à préciser qu’il n’y aura pas pour moi de retour en arrière. Cela exclut donc toute collaboration avec des services de renseignements, quels qu’ils soient.


Claude Covassi, le 11 juin 2006

Renseignement: en plus des "attaques" en la personne de Hani Ramadan il y a son frére en France ( le philosophe) Tarik Ramadan ces livres sont trés apprécié partout dans le monde, il est traité en France comme un extrémiste ( par les médias et quelque politiques) d'une branche soit disant dur de l'Islam... Le premier ministre de l'intérieur Sarkozy ayant publiquement dit "Je ne parle pas avec de tel personne" il y aurait t-il un lobby anti Ramadan ? voir plus ??

La question reste en suspens?

Le 20 FEVRIER 2007

En ce moment il habite dans un endroit retiré de la campagne genevoise...Sa vie n'est pasq pour autant devenue plus calme, Pas du tout.
Demain, il va être entendu par la justice fédérale ( Auditionnée deux fois en décembre 2006) il dénonçe les dysfonctionnements au sein du Service d'analyse et de prévention (SAP),c'est le trouble devant les parlementaires fédéraux quand Covassi raconte «l'obsession» de son officier traitant, un certain S., à piéger Hani Ramadan, le directeur du Centre islamique de Genève. «S. m'a affirmé que Hani Ramadan avait du sang sur les mains. Il était question d'introduire des documents dans son bureau: le manuel du combattant d'Al- Qaida devait se retrouver dans son PC», ajoute Claude Covassi. Selon lui, sa mission devait le conduire à établir un lien entre le directeur du Centre islamique et les réseaux salafistes impliqués dans les actes de terroristes.A l'appui de ses déclarations des enregistrements sonores , des échanges de correspondance par mail qui témoignent d'une singulière imprudence de la part de son officier traitant.
Là où l'affaire s'embrase Covassi se montre extrêmement précis sur ses activités produisant des comptes rendus complets de ses missions d'infiltration en Suisse, en Syrie et en Egypte. Dernièrement, S.( muoillé jusqu'au cou dans cet affaire) jette sa pierre et affirme (dans "SonntagsZeitung") que Covassi avait travaillé pour le Mossad et les Frères musulmans. Ce à quoi Covassi répond: «Je n'ai jamais entendu quelque chose d'aussi stupide. Jamais je n'ai collaboré avec un service étranger.»
il vie aujourd'hui avec une aide sociale.Covassi avoue être certain d'avoir été pris en filature. Folie ou Paranoiaque??
a cela s'ajoute des faits troublant Le 18 décembre 2006, quelques jours après la première audition de Covassi, le conseiller national Ueli Leuenberger s'est fait voler sa mallette sur le quai de la gare, à Genève. A l'intérieur… les documents que lui avait remis Claude Covassi. Personne ne veut céder à la psychose mais tout de même. «C'est vrai qu'il y a de quoi se poser des questions», consent Ueli Leuenberger. Le vol intervient six jours après que le parlementaire a organisé la rencontre secrète entre Claude Covassi et Dick Marty.Curieusement, un autre parlementaire, qui suit également de très près le dossier, le conseiller national zurichois Daniel Vischer, président de la Commission de droit s'est lui aussi fait voler sa mallette.

la suite de l'histoire est ici :http://claudecovassiislam.blogspot.com/